1. Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fhh, grossexe, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, coprolalie, Partouze / Groupe totalsexe, Gay fsodoh, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... multitude de choix pour établir notre camp. Nous traversions de nombreux chemins, et au fur et à mesure notre périple devenait plus compliqué ; pour finir, un sentier à la limite du praticable pour arriver à la fin, nulle part. Même le sentier devenait plus que raide pour le 4x4 de Marc. Tout de même, à travers les branchages, on apercevait une étendue d’eau ; encore un lac, sûrement.
    
    — Attendez, dit Armelle, je vais voir.
    
    Quelques minutes plus tard, la mine radieuse elle nous balança :
    
    — Allez, les mecs, c’est là. Vous allez voir : c’est le paradis. Marc, coupe le contact, et au boulot ! On décharge le matériel.
    
    Il ne fallut pas longtemps pour tout installer et aménager notre petit paradis pour les deux jours. Armelle avait raison, c’était un vrai paradis. À une trentaine de mètres passait une rivière qui au fil du temps avait modifié son cours, aménageant ainsi une retenue d’eau aussi vaste qu’un étang. L’eau y était claire car un léger courant semblait renouveler l’endroit tel un filtre.
    
    Je commençais à réfléchir où j’allais planter ma tente : pas trop près de mon pote et ma copine, mais pas trop loin non plus. En ouvrant le sac de ma canadienne, je compris tout de suite que quelque chose n’allait pas. Une forte odeur se dégageait du sac.
    
    — Et merde !
    — Quoi ? me demanda Marc.
    — Putain, regarde : tout est moisi. Merde, je ne peux pas utiliser ça.
    — Poubelle, répliqua Armelle. T’avais qu’à vérifier avant, na-na-nère.
    
    Paul me dit :
    
    — Marc, tu te ...
    ... souviens, l’inondation dans les caves en avril ? Si ton sac de tente était par terre, voilà, t’as l’explication.
    — J’y crois pas…
    — C’est pas grave, pouffa Armelle, nous t’invitons dans notre humble demeure. C’est une quatre places ; on ne va pas laisser un pote à la rue. Allez, hop ! Après l’effort, le réconfort. Tout le monde à l’eau !
    — Attends, je n’ai pas mis mon maillot.
    — Ton quoi ? me demanda Marc.
    — Mon maillot.
    — Ton quoi ? insista-t-il à nouveau.
    — Mon… Ah, d’accord.
    
    J’avais compris qu’il se foutait de moi. Ces petits salauds avaient décidé de se baigner à poil.
    
    — Bande de cons ! Alors comme ça, c’est à poil pour tout le monde ? Je te préviens, Marc : si Armelle compare, tu fais deuxième.
    — Je n’ai aucune crainte : pour elle, une bite c’est une bite, salope comme elle est…
    — Parlez, parlez beaux merles, vous perdez rien pour attendre.
    
    Sans pudeur aucune, nos fringues tombèrent rapidement au sol. Marc et moi mations le cul de notre belle femelle ; c’est vrai qu’elle était bandante. D’ailleurs Marc peinait quelque peu à descendre son boxer, la bite à l’horizontale pointant droit devant. Comme les scouts, toujours prêt à niquer. L’enfoiré, comme moi, il pratiquait le rasage intégral, mettant en valeur une belle paire de couilles. Ne portant pas de boxer ou autre sous-vêtement, ma queue se retrouva rapidement elle aussi à l’air libre. Sans bander vraiment, je sentais ma sève bouillonner au fond de mes couilles. Marc était tout de même une belle bête ...
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