Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (42) : l’hypersexualité selon Olga. Les origines de mon hypersexualité
Datte: 25/02/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... plupart des autres filles, jalouses, me détestaient et les garçons ne m’aimaient guère car je repoussais leurs avances, préférant des mâles plus expérimentés.
C’est Irène qui, après m’avoir poussé à lui raconter dans le moindre détail mon parcours, m’expliqua que j’étais hypersexuelle, parce que j’étais capable, certes avec difficultés, de contrôler mes pulsions, et aussi parce que, contrairement aux nymphomanes, j’enchaînais les orgasmes, ne connaissant aucune frustration dans ces étreintes que je multipliais.
Irène avait une dizaine d’années de plus que moi. C’était une jolie blonde avec des seins lourds et fermes. J’ai réussi à convertir cette belle hétérosexuelle aux plaisirs saphiques. Notre relation a duré jusqu’à ce que je fasse la connaissance de Philippe. C’est Irène qui m’a donné les premières clés pour comprendre ce que je vivais. J’ai ensuite eu l’occasion de confirmer cela, de l’approfondir auprès d’autres spécialistes que j’avais consultés pour essayer de sortir d’un engrenage que j’avais du mal à maitriser.
DE LA DECOUVERTE DE L’HYPERSEXUALITE A LA FACON DE LA VIVRE
J’ai dit que l’on ne naissait pas hypersexuelle, mais qu’on le devenait pour des raisons diverses qui trouvent, c’est mon cas, leurs racines dans l’adolescence et même l’enfance.
Ensuite les choses évoluent selon la manière dont on assume et vit cette hypersexualité.
Dans un premier temps, comme je l’ai raconté dans mes récits 2 et 3, avant que je ne rencontre Philippe, j’ai ...
... laissé les choses se faire. Ces années où j’étais lycéenne, étudiante puis dans les débuts de ma vie professionnelle, je collectionnais les frasques, ce qui avait conduit à une rupture douloureuse avec mes parents.
La rencontre avec Philippe a été décisive dans la manière dont je vis mon hypersexualité.
D’abord parce que son candaulisme n’a pu se réaliser pleinement qu’en encourageant mon hypersexualité. J’ai déjà expliqué les efforts qu’il a faits pour parvenir à ses fins, depuis les débuts de notre relation, en passant par notre premier mariage et ce jusqu’à me faire croiser la route de Rachid. Mais c’est aussi auprès de Philippe, dans un contexte où il m’encourageait au contraire de me laisser aller à ma pente naturelle, que j’ai tenté pendant 7 ans ma plus longue période de contrôle, je n’emploie pas le terme de sevrage puisqu’il y a eu des dérapages, limités mais graves (le soir de nos noces, avec Georges le concierge et son fils dans le parking de notre immeuble et surtout lors de mon voyage à rio où je me suis offerte à des inconnus)
L’hypersexualité est, j’en conviens, une forme d’addiction. Et comme telle, il est important de la maîtriser, de la réguler, afin d’éviter de franchir la ligne rouge et de tomber dans la nymphomanie.
J’ai compris par mon expérience que le « sevrage » brutal n’est pas la solution. Il est possible sur une certaine durée, mais présente le danger de dérapages et incontrôlables.
L’addiction au sexe peut aussi venir en réponse au ...