Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (42) : l’hypersexualité selon Olga. Les origines de mon hypersexualité
Datte: 25/02/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... prenions l’autre pour une rivale. Pour moi, mon père était à moi, pas à elle. Et souvent, mes parents se disputaient à mon propos, elle lui reprochant de tout me laisser passer, lui ne supportant pas sa sévérité et sa froideur envers moi.
Depuis les débuts de ma puberté, j'avais découvert peu à peu l'effet que je fais aux hommes.
Je ne comprenais pas pourquoi ma mère me reprochait de plus en plus en vivement la façon dont j'avais de m'habiller, de laisser les boutons de mon chemisier ouverts alors que je ne portais pas de soutien-gorge pour maintenir mes petits seins on encore de porter des jupes courtes ou des jeans serrés. Je ne comprenais pas le regard appuyé des hommes, ou encore pourquoi ma mère se fâchait quand je persistais à vouloir monter sur les genoux de mon père et à chercher auprès de lui bisous et caresses. Je me rendais compte cependant que quelque chose avait changé car je sentais alors quelque chose de dur dans le pantalon de mon père.
Je détestais de plus en plus ma mère, mettant ses reproches sur le compte de la jalousie et j'étais bien décidée à lui prendre sa place. Mon insolence envers ma mère n'avait pas de bornes, et, même quand, à bout de patience, elle me battait, je lui tenais tête, d'autant que mon père donnait toujours raison à moi, sa princesse.
SCENES INTERDITES
Une nuit, je fus réveillée par les cris de ma mère. J’avais d’abord cru qu’elle souffrait. Par prudence, je me suis approchée de la chambre de mes parents. Sur le moment, ...
... je n’avais pas compris ce que j’observais, sans qu’ils me voient. Mais je réalisais d’instinct qu’elle ne souffrait pas, que son visage déformé, la sueur qui coulait de son front, ses gémissements, c’était autre chose : c’était cette chose dure, que j’avais sentie déjà en montant sur les genoux de mon père, qui était à l’origine des gémissements de plaisir de ma mère. Elle était une autre femme, rien à voir avec celle qui était si coincée et si sévère envers moi. Et je fus terriblement jalouse d’elle.
La curiosité me poussait alors de plus en plus à être à l'affût des ébats des adultes, en me cachant soigneusement. A partir de là, comme je l’ai déjà raconté, je me suis mise à observer. Malgré les précautions qu’il pouvait prendre, j’ai plusieurs fois surpris, bien cachée, mon père avec quelques-unes de ses maîtresses, ce qui renforçait ma curiosité et ma jalousie. Je me demandais pourquoi il rendait heureuses ces femmes et ma mère, qui, à mes yeux ne le méritait pas, et pas moi, qu’il appelait pourtant sa princesse, sa chérie ? J’étais bien décidée à lui plaire, ignorant évidemment que c’était un tabou absolu.
Même si ça restait encore mystérieux, je comprenais donc peu à peu le pourquoi des gémissements, de ces cris, de ces visages déformés par le plaisir.
C'est aussi le moment où j'ai commencé à découvrir la masturbation que, dès le départ, j’ai pratiqué assidument, le soir, le matin au réveil, mais aussi en journée, dans les toilettes du collège et même à table, ...