1. Eiffel - épisode 2


    Datte: 22/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Sexe Interracial Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... derrière ma nuque et m’ordonne de faire de même. Nous sommes debout face à face comme des rugbymen. Je titube de souffrance.
    
    - Les jambes. Ouvre, souffle-t’il.
    
    Comprenant ce qui va suivre, j’écarte les cuisses en pleurant et Ndallo frappe mes testicules d’un coup de genoux. La douleur me casse en deux et je tomberais s’il ne me tenait pas fermement.
    
    - Dis merci à ton Maître, pédé.
    
    - Merci Maître Ndallo…
    
    - Bien, pédé… Ouvre encore !
    
    - Pitié Maître Ndallo, ça fait trop mal…
    
    - Oui c’est bien. C’est ce qu’il faut te faire parce que tu es un pédé. Ouvre encore !
    
    J’obéis en gémissant et il frappe à nouveau. Je hurle et je reste accroché à son cou mais je ne peux pas m’empêcher de refermer les jambes. Il s’adresse à ses comparses qui empoignent mes cuisses et les maintiennent ouvertes. Ndallo recommence trois autres fois. Il a probablement prévu de continuer mais je tombe à terre et me met en position fœtale, à la limite de l’inconscience. Mes bourreaux sont au-dessus de moi. Ndallo a repris le portable. Il parle aux deux autres en se branlant lentement. Les deux jets de pisse frappent mon visage.
    
    - Ouvre la bouche, pédé, gronde Ndallo. Bois la pisse, bois le jus des hommes !
    
    Complètement soumis, j’obéis, étouffant à moitié sous l’urine âcre qui m’étouffe. Lorsque le flot se tarit, je lèche même le sol gluant de sperme et de pisse.
    
    - C’est bien, pédé. Tu vas montrer à ta femme maintenant. Qu’elle voit que tu es un sale pédé, oui. Après tu lui dis ...
    ... que nous on la baise pendant que tu regardes, d’accord ? le cul et la chatte ! Et toi tu lèches ses trous après, pédé ! Tu lèches ses trous plein de sperme des vrais hommes !
    
    Mon tourmenteur éteint enfin mon portable, le pose à côté de moi puis ressort sans un regard ni un mot suivi par Soussa. Nanga m’aide à me mettre sur le canapé et me recouvre d’une couverture crasseuse. Il est clairement gêné par ce qui vient d’arriver et la part qu’il y a pris quand il murmure :
    
    - Tu restes comme tu veux. Tu prends le temps. Ok, mon ami ?
    
    - Oui, merci.
    
    Je me rends compte que c’est la première fois qu’il s’adresse à moi. Je reste prostré une bonne heure. Avant de partir, Nanga revient et me met un papier dans la poche en précisant qu’il s’agit du numéro de téléphone de Ndallo et qu’il exige que je l’appelle plus tard. Quel salopard ! Je n’ose pas regarder dans quel état je suis, j’ai juste envie de partir d’ici. Je me rhabille en gémissant. Je titube comme un homme ivre jusqu’à la sortie et j’appelle un Ubber. Je pue le « sale » mais le chauffeur ne fait pas de commentaire. Une fois chez moi, je fais couler un bain et j’y reste un temps infini puis je passe en revue mon état général. Mon corps est marbré de bleus plus ou moins marqués. Ma verge est griffée, surtout le gland, et mes mamelons étirés me lancent. Mais plus que tout, mes testicules sont gonflés et le droit affiche une vilaine décoloration vi0lette. Sans surprise, mon anus a repris l’apparence d’un gros chou-fleur. 
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