1. Eiffel - épisode 2


    Datte: 22/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Sexe Interracial Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    Eiffel – Chapitre 2
    
    Quand je fais le bilan de cette expérience incroyable, je reconnais deux choses principales : je n’ai jamais joui comme ça et en même temps, j’ai fait montre d’un manque de prudence stupéfiant quand je réfléchis aux risques de maladie ou au fait que j’aurai pu aussi bien être attaqué et blessé une fois dans le repaire des africains. Je suis du coup gréé à Abou de ne pas avoir éjaculé en moi et d’avoir finalement eu un comportement très honorable. Après tout, c’est moi qui ai insisté pour être forcé brutalement même s’il ne s’est pas beaucoup fait prier pour m’exaucer.
    
    Fort de ce constat, je décide de ne plus renouveler l’expérience. Puisque je jouis du cul, je décide de me gérer. Après avoir cherché avec quoi je pourrai me sodomiser, je m’encule sur le goulot d’une bouteille de bordeaux prise dans le mini-bar. Malheureusement, le résultat est tout sauf satisfaisant car je ne ressens qu’une gêne rédhibitoire – même si j’utilise préalablement la pommade d’Abou. J’en déduis que plus que l’acte lui-même, c’est l’ambiance qui m’excite, le fait d’être soumis à celui qui m’encule, réduit à l’état de paillasse. Pas le genre de chose qu’on peut gérer seul. Puisque j’ai l’avantage d’avoir potentiellement un compagnon de jeu de confiance en la personne d’Abou, autant en profiter.
    
    Dimanche en fin de matinée, je suis assis à ma place habituelle au Tocadéro, le pot de pommade magique en poche.
    
    Au bout d’une vingtaine de minutes, toujours pas d’Abou. Comme je ...
    ... ne reconnais pas non plus le jeune type qui m’avait abordé la dernière fois, je me ballade sur la place puis descends jusqu’à la Tour Eiffel et vérifie s’il n’est pas en train de vendre sa camelote vers une des quatre piliers mais sans succès. Je suis frustré. J’ai envie de me faire défoncer en étant traité comme une pute. J’en ai BESOIN. Dès lors je prends mon courage à deux mains et je m’approche d’une des nombreux vendeurs africains. C’est un type élancé et sec dans la petite quarantaine :
    
    - Excusez-moi…
    
    - Oui mon ami, tu veux quoi ? Bons prix là, tu me dis.
    
    - Non ça n’est pas pour ça. Je cherche un de vos collègues. Abou. Vous savez où il se trouve ?
    
    - Abou ? Oui, c’est un ami, oui. Abou il ne travaille pas là. Abou pas là le dimanche.
    
    - Ok je vous remercie.
    
    Je m’éloigne mais le type me ratt**** :
    
    - Tu veux quoi à Abou, mon ami ? Tu peux me dire, oui.
    
    - Non ça n’est pas grave, je le verrai une autre fois.
    
    - C’est pour la bite là, oui ? C’est pour ça que tu veux Abou. Pour la bite ?
    
    J’hésite à répondre. Le regard du type est un mélange de moquerie et de répugnance affichée.
    
    - Moi je suis Ndallo. Je suis pas un pédé mais tu donnes des euros et je te dis qui tu vois pour la bite. Comme avec Abou. Avec une grosse bite aussi, oui ?
    
    - Non. Je vous remercie, je dois partir.
    
    - Attends-tu restes, dit-il en regardant autours de lui puis en posant sa main d’autorité sur mon épaule. Il te fait quoi Abou ? Tu suces sa bite, oui ? Il enfonce dans ...
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