1. Eiffel - épisode 2


    Datte: 22/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Sexe Interracial Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... le cul ? Oui toi, tu veux dans le cul… Tu donnes l’argent et je te montre un ami qui t’enfonce dans le cul. Il a une grosse. Il te fera longtemps et toi tu jouis. C’est ça que tu veux hein ? Tu as combien d’argent ? Tu bouges pas je te dis. Tu attends, j’appelle l’ami. Tu vas aimer.
    
    Même si je ne cherche pas à m’éloigner, sa poigne ne s’adoucit pas tandis qu’il prend son portable et il garde ses yeux durs sur moi tout le temps de la brève conversation dont je ne comprends rien.
    
    - C’est bon, dit-il, il vient. On va pas loin. Viens mon ami.
    
    Tout en parlant, il a passé son bras sur mon épaule et maintient sa prise. Il sourit toujours mais ses yeux restent durs. Un duo de policiers se trouve à proximité et il enlève sa main. J’hésite à me diriger vers eux car je sens que je vais au-devant de gros ennuis mais l’envie d’être sailli est la plus forte et je reste avec lui. Il a senti mon hésitation et me lance :
    
    - Avance, pédé, avance pour avoir la grosse bite…
    
    A ma surprise, nous ne nous dirigeons pas vers l’antre d’Abou. Je comprends que contrairement à ce que j’imaginais, il n’y a probablement pas qu’un unique groupe de vendeurs Africains mais plusieurs, chacun avec son territoire et probablement son repère. Nous descendons à l’est des quais de Seine et un autre noir nous apostrophe. Ndallo lui parle en me désignant et ils rient. Il lui fait signe de nous rejoindre. Ils tournent autour de moi en continuant à parler. Leur mépris est palpable. Le nouvel arrivant ...
    ... se colle derrière moi. Je ne bouge pas. Il pousse son bassin sur mes fesses et se frotte en me disant « Toi tu es une femme, oui ? ». Il n’attend pas vraiment une réponse. Il me renifle bruyamment. Je baisse les yeux et ils rient à nouveau. Maintenant que nous sommes loin du coin touristique, Ndallo remet son bras autours de mes épaules pour me faire avancer et nous progressons en direction du pont de Bir-Hakeim. Ils me posent des questions personnelles mais je reste évasif, laissant juste entendre que je suis en couple et que j’ai des enfants. Je vois que ça les choque et par la suite, en dehors des regards appuyés qu’ils me jettent, ils ne m’adressent pas la parole. Plusieurs embarcations – bateaux divers et péniches - sont amarrées sur le quai. Après avoir vérifié qu’ils étaient tranquilles, ils me poussent sous la chaîne d’une des péniches et nous descendons un escalier. Ndallo ouvre une lourde porte en bois. L’endroit est assez similaire au repaire d’Abou avec les produits des ventes sous plastique bien disposés sur le sol et divers sacs ou matelas permettant aux vendeurs de se reposer. Ndallo dit quelques mots et une voix lui répond de l’arrière de la péniche. Ils déposent leur chalandise et mon hôte frappe dans ses mains en disant :
    
    - Voilà mon ami. Maintenant donne l’argent et après on va te le faire comme tu veux. Tu vas être notre femme, oui. Mon ami Nanga que j’ai appelé avec le téléphone attend déjà derrière le bateau pour te niquer. Il aime niquer les pédés ...
«1234...»