1. Eiffel - épisode 2


    Datte: 22/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Sexe Interracial Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... français, oui.
    
    Il désigne l’autre type qui nous a accompagnés :
    
    - Soussa aussi va te niquer. Il aime pas les pédés mais il a envie de niquer. Moi peut être après aussi je te nique. Comme Soussa j’aime pas les pédés mais si je peux te traiter alors je te nique aussi.
    
    - Me traiter ?
    
    - Oui te traiter. Frapper. Te faire pleurer. La punition ! Moi c’est ça que j’aime : traiter ! Tu veux ça ?
    
    J’hésite et ça lui suffit pour qu’il reprenne en souriant plus largement :
    
    - Oui tu veux ça, hein pédé… Tu veux être traité, je le vois… Tu vas être mon esclave, oui ?
    
    - Oui Maître Ndallo.
    
    - Oui Maître Ndallo, me raille-t’il, enchanté. Oui c’est ça, pédé, je suis le Maître. C’est très bien. Maintenant donne l’argent. On est trois alors au moins 100, oui !
    
    J’ai 150€ mais après mon histoire avec Abou, j’ai anticipé et préparé les billets. J’en sors 80 et les lui donne en disant que c’est tout ce que j’ai.
    
    - Ça va, d’accord. Mais la prochaine fois tu amènes au moins 100, pédé !
    
    Il dit quelque chose à Soussa qui me prend comiquement par la main et m’entraine vers l’arrière de la péniche. Je suis accueilli par le fameux Nanga. Il ressemble un peu à Abou mais en plus vieux. Massif et gras, il porte une gandoura légère et il est assis sur un canapé fatigué. Soussa tire un rideau derrière nous et me fait signe de retirer mes vêtements. Il allume un gros spatial qui a connu des jours meilleurs et une musique arabisante retentit puis il s’assoit sur le canapé à côté ...
    ... de Nanga qui me fait des signes enthousiastes en me montrant la musique. Je comprends qu’il veut que je fasse un strip-tease alors je me trémousse en enlevant ma veste puis ma cravate. Je n’ai jamais été doué pour la danse et je dois être pathétique mais mes spectateurs rythment mon effeuillage en frappant dans leurs mains en rythme. Nanga se palpe à travers le tissu. Soussa enlève son pantalon et son slip puis reste les cuisses largement écartées sans toucher sa grosse bite noire à demi-bandée. Quand je baisse mon boxer, ils commentent en riant ma petite verge tendue. La pommade d’Abou en main, je me retourne et écarte mes fesses pour m’en tartiner copieusement l’anus devant eux. Je me cambre et m’écarte pour me doigter en profondeur. Je me comporte comme une véritable chienne ce qui me vaut d’autres commentaires dont je ne comprends pas le sens.
    
    J’entends alors le bruit caractéristique d’une photo prise avec un portable. Je me retourne et découvre Ndallo, mon portable en main. Affichant toujours son sourire carnassier, il me fait signe de l’autre main de continuer et j’obéis. Il m’immortalise en train de m’ouvrir à deux mains. Je me mets à 4 pattes et rampe jusqu’au canapé. Nanga relève sa gandoura et son membre apparait, énorme et bandé. Je vais pour le sucer mais il me fait relever et pivoter pour que mes fesses soient face à lui puis m’attire par les hanches. Toujours assis, il fait descendre mes fesses jusqu’à ce que je sois cassé en deux devant lui. Sans aucune ...