You know I'm no good
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
couple,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: Lilas, Source: Revebebe
... ventouse très excitant.
Je me laissai faire, même si je savais que ce n’était pas une bonne idée de laisser le père de Pauline me manger la chatte… Ce n’était pas prévu dans le contrat de l’amitié que nous avions passé ensemble…
—Mmmm… mais elle ne le saura pas, pensai-je avec confusion.
Le plaisir m’inondait. Mes hanches accompagnèrent le cunnilingus énergique que l’homme me faisait subir, effectuant un petit mouvement de rotation pour accentuer les caresses intimes de sa langue. Il fallait qu’il arrête ça tout de suite. Tout de suite. Sinon je… Aahhh… Je… Aaaahh ouii… J’allais… Mmmm…
Mon corps était tendu à se rompre. Je tremblais terriblement, emplie d’une volupté indescriptible. Je respirais la bouche ouverte. Qu’il sache que j’étais réveillée, après tout. Je n’en avais cure ! C’était trop… trop bon… Mmmm…
J’allais jouir, dans un spasme final, lorsqu’il arrêta la succion. J’ouvris un œil perplexe, et l’aperçus, dans la lueur blafarde qui filtrait au travers des rideaux ouverts. Il était nu. Il m’observait. J’étais là, écartelée, offerte, émue, troublée. Son regard pesait une tonne. Son corps bronzé paraissait noir dans la pénombre. Son sexe dur n’était pas immense mais très large. Son gland palpitait contre son ventre. Il s’était redressé, me tenant toujours les genoux repliés contre la poitrine. La position devenait douloureuse, mais je n’avais d’yeux que pour cette grosse matraque. Il ne pourrait pas rentrer. C’était biologiquement impossible. Il ...
... n’allait pas pouvoir rentrer, ce braquemart imposant ! J’étais trop étroite !
L’homme, sans un mot, se coucha en travers de mon corps, joua un instant avec son large sexe qu’il fit aller et venir le long de ma fente ouverte, sans avoir besoin de le toucher tant il était raide. Il distillait le désir en moi à petites gouttes. M’amenant jusqu’au bord de l’excitation la plus intense. Il souriait. Je voyais ses dents luire. Je voulus tout de même placer un mot. «Je ne veux pas, je » mais rien ne sortit de ma bouche, et il se pencha sur moi, remonta sur moi, remonta en moi. Cette fois ma bouche s’ouvrit en rond, et je gémis doucement, étonnée.
Oui. Oui. D’un coup de reins vigoureux, déterminé, l’homme était rentré. Il avait forcé ce passage si étroit. Ça y est, il y était, ce membre si large, il était rentré finalement, il prenait tant de place en moi que je me sentais dilatée. C’était une présence si intense qu’elle en était presque insupportable. Et il continuait à rentrer, doucement, tandis que l’homme dégageait mes seins de leur enveloppe de coton, les déposait par-dessus ma robe, les contemplant comme de beaux fruits tendres, offerts à sa vue comme tout mon corps lui était offert.
Ma chatte, lentement, gobait son large membre, l’avalait, l’aspirait, sans qu’il fasse un mouvement. Il me pénétrait sans effort et je me sentais remplie de lui comme jamais je n’avais été remplie par quiconque avant lui. Je suffoquais à moitié. Mes doigts agrippèrent les coussins, de part et ...