Le parfum du désir
Datte: 15/02/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
poilu(e)s,
soubrette,
odeurs,
Oral
pénétratio,
confession,
nostalgie,
prememois,
Auteur: Larry Starck, Source: Revebebe
... remettre sa culotte, mais j’ai arrêté son geste. J’ai pris le tissu. J’en ai flairé l’odeur. Elle m’observait avec un regard dubitatif. J’ai glissé le slip sous mon oreiller. Elle a souri, m’a embrassé sur la joue, et s’est rhabillée, sans culotte. Elle portait ce jour-là un pantalon. Elle a fini le ménage, a remis son manteau et pris son sac. Je la regardais partir. Alors, elle s’est arrêtée, est revenue vers moi et m’a embrassé, tendrement, passionnément.
Je repensais à ce baiser, la nuit, en me caressant, le visage enfoui sous sa culotte.
*****
J’aimais par-dessus tout les jours où elle venait à la maison faire du repassage. Je la laissais s’installer à sa table et commencer son ouvrage. Puis je venais me mettre à genoux sous sa robe ou sa jupe ; elle ne portait jamais ces jours-là de pantalon. Je passais ainsi les deux heures pendant lesquelles elle s’occupait du linge, à caresser, embrasser, lécher, mordiller ses jambes, ses pieds, ses fesses, son sexe, son clitoris.
Le début de l’été offrait des moments privilégiés. Elle avait moins de travail. Mes parents n’étaient pas là et elle était chargée d’un grand ménage que je devais superviser. Pendant une semaine, elle venait tous les jours passer les après-midis avec moi. Les rangements et le ménage fournissaient mille occasions de détournements érotiques.
Nous avons continué ainsi, puis le temps a passé. J’ai quitté le domicile parental. Je me suis marié. J’ai eu des enfants. Un jour, mon épouse m’a annoncé qu’elle venait d’engager une femme de ménage, conseillée par ma mère. Une odeur familière flottait dans l’appartement, et je retrouvai, intacte, l’émotion de mes vingt ans.