Le parfum du désir
Datte: 15/02/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
poilu(e)s,
soubrette,
odeurs,
Oral
pénétratio,
confession,
nostalgie,
prememois,
Auteur: Larry Starck, Source: Revebebe
... ravivent encore et encore mon désir.
*****
Pourtant, l’aventure le lendemain m’a paru à peine croyable ; l’avais-je bien vécue ? Comment cette femme… tellement plus âgée que moi, c’est ce que je pensais alors lorsque j’ai découvert qu’elle n’avait que quatre ans de plus que moi, je me suis fait l’effet d’un gringalet. Je n’avais pas fini de formuler mon questionnement qu’une bouffée de son odeur a envahi ma mémoire ; puis s’est dissipée alors même que je voulais la retenir pour comprendre. Mais toute question était inutile. Coincé dans les replis de mon pantalon, mon sexe déjà pointait l’explication.
Le lendemain, elle est revenue à la maison, mais ma mère était là. Je suis parti pour ne pas croiser la tentation. Le soir, ma chambre était impeccablement rangée, comme jamais, me sembla-t-il. Dans l’air flottait une légère odeur que j’ai reconnue sans peine. Une semaine après notre aventure, nous devions une nouvelle fois nous retrouver seuls à la maison. Qu’allais-je faire, qu’allait-elle accepter ? Et si elle regrettait ce moment d’égarement ?
*****
Une heure avant son arrivée, je m’activais à ranger la maison à sa place. Puis la porte s’est ouverte. Elle m’a dit « bonjour », comme elle m’avait toujours dit bonjour. Elle a posé son manteau et, comme si rien ne s’était passé entre nous, elle a préparé ses armes : balais, chiffons, produits divers. Rongé de doutes, je la laissais faire. J’allais et venais dans la maison, trouvant toujours une occupation à droite ...
... ou à gauche qui exigea que je me déplace. J’évitais les pièces qu’elle occupait. Je ne la croisais pas. Elle m’ignorait complètement. Mais elle était là. Son odeur commençait à envahir la maison, et mes occupations forcées étaient de plus en plus vides de sens. J’ai fini par m’engager dans le couloir vers ma chambre. Elle passait l’aspirateur. En me voyant, elle s’est levée et s’est plaquée contre le mur pour me laisser le passage. Devant elle, je me suis arrêté et j’ai posé mes mains sur ses seins. Je les explorais en tous sens, parfois avec légèreté, parfois les pressant violemment.
L’aspirateur vrombissait inutilement à côté de nous. Elle me laissait faire, les yeux grands ouverts, le visage impassible. Du bout de langue, je suis allé caresser ses lèvres humides, entrouvertes. Sa langue est venue à la rencontre de la mienne, ses yeux se sont fermés et nos lèvres se sont unies. Enfin, pressé contre elle, j’étais enveloppé par les effluves de sa peau et je retrouvais intacte l’ivresse de mon premier désir. Le tuyau de l’aspirateur qui lui échappait des mains a interrompu la danse de nos langues. Je me suis baissé pour éteindre l’aspirateur en laissant mon visage s’écouler contre son corps, cheminant entre ses seins, sur son ventre pour s’arrêter sur le creux de son sexe. Elle s’est laissé prendre la main, comme une petite fille, et entraîner dans ma chambre.
En la déshabillant, je promenais mon nez partout sur son corps et commençai une cartographie des senteurs. Son ...