1. Le parfum du désir


    Datte: 15/02/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, poilu(e)s, soubrette, odeurs, Oral pénétratio, confession, nostalgie, prememois, Auteur: Larry Starck, Source: Revebebe

    ... jupe, ma main a atteint sa culotte. À la moiteur de la peau succédait la douceur du tissu. Ses fesses étaient rondes, fermes, larges et puissantes. Je distinguais maintenant nettement ce parfum si particulier qui s’écoule de corps emportés par le désir. Je n’en avais jamais humé de si voluptueux. Jamais je n’en retrouverai de si capiteux. Mes doigts ont longuement exploré son postérieur. Elle avait les mains agrippées à la bibliothèque ; immobile, elle s’offrait à la caresse. Son corps entier était tendu par la montée de son propre désir.
    
    Presque imperceptiblement, comme si un geste trop brusque eût risqué de tout rompre, je descendis sa culotte. Mes deux mains, enveloppant fermement chacune de ses jambes, glissaient en une longue caresse, poussant devant elles le tissu chiffonné. Je soulevai une jambe, puis l’autre, afin de libérer ces quelques grammes d’étoffe.
    
    Pour la première fois, je la regardai. Je posai sur mon visage la culotte, tout emplie de sa moiteur, et j’inspirai lentement et profondément ses parfums un peu âcres. Elle me souriait, étonnée, mais excitée, me semblait-il, par ce geste. J’allai ensuite à la source du parfum, plongeant entièrement sous sa jupe, comme on se jette d’un coup dans l’eau froide. Les odeurs fortes, mêlées, concentrées là me saoulaient et portaient mon désir à son paroxysme.
    
    Dans la pénombre de son intimité, j’écartai ses fesses pour découvrir son sexe rebondi et abondamment poilu et le trou serré de son anus. C’est à cette ...
    ... petite corolle brun rosé qui me faisait face que j’offris la première visite de ma bouche curieuse et gourmande. De la main, j’explorais son sexe. Un chef-d’œuvre de replis humides encerclés par une forêt profonde de poils qui retenait et exhalait des parfums prodigieux d’épices et de fleurs exotiques, mêlés à une animalité fauve. Et puis elle s’est retournée pour m’offrir l’autre face d’elle-même à aimer.
    
    La pendule sonnait machinalement. Il y avait plus d’une heure que j’avais entrepris de m’aventurer sous cette jupe. Une heure que je caressais, léchais, buvais, mangeais ses odeurs, sa sueur, les gouttes de son désir, le plaisir à sa source. Son clitoris tendu, serré entre mes lèvres, vibrait sous la caresse de ma langue. Elle a joui sans un bruit, agitée par une série de petits spasmes, plaquant de ses mains fermes mon visage entre ses cuisses inondées de savoureuses liqueurs.
    
    Il lui fallait partir, mais avant, elle a eu pitié de mon érection. Ses petits doigts ronds, précis et rapides ont extirpé mon sexe et elle m’a fait l’offrande de sa bouche, lapant mon lait comme j’avais lapé le sien quelques instants auparavant.
    
    *****
    
    Seul, il me restait sur les doigts, et sur le visage, et dans la bouche, les traces odorantes de son corps. Elles étaient si prégnantes que mon désir a ressurgi presque intact. Je refis mentalement les mêmes gestes, explosant entre mes doigts d’un plaisir renouvelé. Je suis allé ensuite prendre une longue douche pour que les odeurs accrochées ne ...
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