Conte de Noël
Datte: 14/02/2019,
Catégories:
fh,
fdomine,
pénétratio,
jeu,
init,
conte,
amourpass,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... autour de ma bite. Quelques secondes plus tard, une autre. Puis une troisième. J’ouvris les yeux. Les siens brillaient. Elle me regardait avec un petit air narquois et satisfait. Les contractions se multiplièrent. Plus ou moins espacées, plus ou moins longues. Elle jouait avec mes nerfs. J’essayai de garder mon calme. De plus en plus difficile mais elle avait entamé un jeu. Jeu que je ne pouvais pas perdre puisqu’elle voulait que je sois le mâle.
Popaul frémissait de plus en plus. Cette fois je ne pourrais pas me retenir. Oh la la, l’hallali ! J’allais bouger. Soudain, je vis son sourire se décomposer, ses traits se creuser. Ses bras m’enlacèrent, ses jambes s’ouvrirent. D’une voix perdue :
— T’as gagné. J’peux plus. Baise-moi fort.
Sa demande tombait on ne peut mieux. Sans lâcher son visage, les yeux dans ses yeux, le corps arqué, j’entamai un pilonnage en règle. Sûr que le réveil on ne l’aurait plus entendu. Les gémissements du sommier, ceux d’Aurore, ses halètements, mes ahanements et d’autres bruits onomatopiques générés par nos corps luisants de transpiration (et pas seulement) résonnaient dans la pièce en une symphonie cacophonique.
Symphonie inachevée car nous jouîmes assez rapidement, en quasi simultanéité. La dernière note se matérialisa dans la tonalité « ventouse qu’on arrache » lorsque nos corps se désunirent. Je retombai sur le dos, épuisé. Une main prit la mienne. Nos doigts s’entrelacèrent. Encore une habitude. Nous restâmes ainsi, silencieux, le ...
... regard dans le vague de longues minutes.
Une éternité que je n’avais pris un tel pied. Quand je dis éternité, il faut lire jamais. La plupart du temps, et c’est ce que j’attendais d’un partenaire, je jouissais du cul. Les quelques fois où j’avais dû, à sa demande, en honorer un, mon plaisir avait été tout relatif. Alors qu’aujourd’hui… Et voir le plaisir inonder son visage…
Quand elle se retourna vers moi, un sourire radieux aux lèvres, ce fut pour dire :
— T’as vu l’heure, MON chéri ! J’ai une faim de loup !
Effectivement, midi bon poids. Il est vrai qu’on avait trainé un peu au lit.
De samedi midi à dimanche soir.
Par bonheur, elle avait quelques plats cuisinés dans son congel. Sans prendre la peine de nous habiller, la nudité nous allait bien, nous avons cassé la croûte. Avec le café, nous finîmes les viennoiseries. Ensuite retour au lit et rebelote. L’amour, sans hâte, avec un maximum de tendresse. Entre deux caresses, nous discutions. Ce n’était pas seulement la découverte de nos corps mais aussi celle de nos êtres.
L’obscurité et la faim (surtout la faim !) nous tirèrent du plumard… Envie de sortir ensemble et nécessité de ravitaillement. Destination Bourg-en-Bresse, où nous étions sûrs de trouver un supermarché ouvert et un resto sympa. Après avoir rempli un caddy puis nos estomacs, retour à son appart.
De l’appart au lit, il n’y avait qu’un pas. C’était reparti pour un round. Elle voulut tester la sodomie. Bien que nous ayons joui tous les deux, ...