Conte de Noël
Datte: 14/02/2019,
Catégories:
fh,
fdomine,
pénétratio,
jeu,
init,
conte,
amourpass,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... étroitement enlacés. Malaise. Au bord du précipice, nous savions l’un comme l’autre, qu’un pas en avant nous précipiterait dans un maelstrom qui remettrait en cause toutes nos convictions profondes.
Mon homme se montra à la hauteur. Se dressant sur la pointe des pieds, elle appliqua ses lèvres sur les miennes. Libération. Pas de round d’observation. Un baiser torride, offensif. Combat de langues. Toutes nos digues lâchèrent d’un seul coup. Elle me délesta de son pantalon et de sa culotte en un seul mouvement. Je fis de même avec mon slip.
Nos mains s’affolèrent à la découverte de nos corps. L’urgence nous saisit. Sans cesser notre baiser de folie, Aurore nous mit en mouvement. Mon dos poussa la porte de sa chambre. Mes jambes heurtèrent ce qui ne pouvait être que le lit. Je n’eus pas le temps de me poser de questions. Elle me renversa en travers du lit. Elle m’enjamba.
Sans aucune précaution particulière, elle s’empala sur ma bite tendue. Étroite mais si absolument trempée. Je la pénétrai sans aucune difficulté. Elle plaqua ses mains sur ma poitrine, y plantant ses ongles heureusement courts. Elle entama un galop effréné. Ses seins dansaient la gigue devant mes yeux éclatés. Ses fesses claquaient contre mes cuisses. La chevauchée fantastique. Mon bassin montait à la rencontre de son ventre. Elle me repoussait ensuite contre le drap.
L’exiguïté de son vagin, l’excitation, la nouveauté, l’alcool. Il ne me fallut pas longtemps pour atteindre la jouissance. Je me ...
... déversai à longs jets dans la vulve inondée de ma dentiste. Est-ce la sensation de mon foutre giclant contre ses parois qui… quelques secondes suffirent pour qu’elle me rejoigne dans le plaisir. Le sien fut bruyant et violent. Nous roulâmes sur le côté. Silence enlacés. Dernière pensée : j’avais viré ma cuti.
Lendemain matin.
Une grosse envie de pisser me réveilla. Nous étions toujours enlacés mais, par je ne sais quel tour de magie, couchés plus rationnellement bien au chaud sous la couverture. Ce vendredi 18 décembre 2009 serait à marquer d’une pierre blanche. Plus de quarante ans d’homosexualité revendiquée, balayée en une nuit d’ivresse par/pour une gamine, qui plus est, lesbienne.
Je me détachai à regret mais y avait urgence. Quand je revins, elle s’était retournée et découverte. Couchée en chien de fusil, elle m’offrait la vision émouvante de son dos nu, de ses fesses menues. La lumière bleutée du radioréveil entourait sa silhouette d’un halo mystérieux, soulignant la fluidité de ses courbes. J’étais sous le charme. Je restai là, debout, grand béta, à contempler son corps endormi.
Plus possible de me réfugier derrière cette soirée alcoolisée pour excuser mon comportement. La simple vue de sa nudité provoquait une bandaison matinale. L’alcool nous avait simplement désinhibés, libérés de nos tabous.
Un œil au réveil, pas encore 5 heures. Un peu tôt pour la tirer de ses songes. Je m’allongeai gentiment sur le dos évitant de la toucher. Je nous recouvris. Je ne ...