Sexothérapie (2)
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Emil, Source: Xstory
... la fois exhibés et accessibles. A la demande, je passe sous la table pour des petits travaux buccaux. Luc jouit assez vite alors qu’Aline est longue à émouvoir. La nuit, je partage la couche de ceux qu’il convient maintenant d’appeler « mes maîtres ».
Me voyant sans cesse repousser les limites, ils ont eu tôt fait d’inventer une incroyable variété de séances de torture. Les arbres du jardin ont été équipés de chaines qui permettent de m’attacher bras et jambes écartées à l’extrême. Aline prend un plaisir évident à me cravacher les seins, les fesses et l’entrejambe. C’est dans cette position que Luc aime me pénétrer par tous les trous. Par la suite, ces mêmes arbres serviront à me pendre par les pieds ce qui facilitera d’autant le maniement de la cravache à l’aine et sur le haut mes cuisses. Je passe sur l’usage des godmichets, vibros, plugs, boules de geisha, pinces à linge, cordes et autres accessoires. Ces douloureux délires sexuels me font alterner désir, plaisir et souffrance. Mes maîtres m’ont ensuite acheté une corbeille de chien qui, au pied de leur lit, me sert de couche, roulée en boule. Au moins, mon statut chez eux s’est clarifié ! Dans la journée j’ai pris l’habitude en leur présence, lorsque je suis inactive, de me tenir autant que je peux prête à tout. Je suis le plus souvent à quatre pattes jambes écartées, cul et sexe bien visibles, les seins pendants et bougeant doucement sous moi. Je fatigue parfois mais en suis souvent récompensée. L’achat d’un gode ...
... ceinture a mis à égalité mes partenaires pour de joyeuses pénétrations surprises.
La pinède qui entoure le village présente bien des attraits et permet une certaine discrétion pour des activités peu licites. Lorsque nous nous y rendons, je ne dois porter que mes tennis et m’exhiber nue. Lors des pauses, je mets en scène mon intimité et ensuite me dispense de très actives caresses. J’ai l’obligation de me faire jouir ainsi pour leur plus grand plaisir de mes deux voyeurs et de quelques randonneurs de passage. Au départ je montre tout, m’écartèle à loisir. Mon cul et l’intérieur de mon sexe sont exhibés. Puis je m’agite sur mes seins, mon clitoris, me défonce l’abricot et la rondelle avec fougue. Mes doigts entrent en moi comme dans un ballet bien orchestré. Si je tarde à montrer mon plaisir, une baguette de coudrier, habilement maniée me rappelle à l’ordre et, sollicitant habilement mon masochisme viscéral, me permet d’exulter.
A la fin du séjour, c’est dans une autre tenue indécente, une combinaison dégageant mon cul et mon sexe depuis l’arrière et laissant largement les seins sans protection, que j’accueillerai les relations locales de Luc et Aline. D’abord regardée avec mépris, je me suis appliquée au service non sans me faire par moments pincer les parties intimes ou mettre un doigt dans mon trou le plus proche. Les participants ont apparemment été briefés et, avec un plaisir fou, m’insultent. Ils me traitent de « chienne lubrique », de « pute à clébard », se repaissent ...