Sexothérapie (2)
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Emil, Source: Xstory
... anus se distendent largement. Voilà une sensation étrange et nouvelle ! Je suis encore plus massivement emplie de lui que lors de l’épisode précédent. Je manque d’air. Mon bas ventre est en feu. Il s’immobilise à nouveau et commence à disperser sa semence dans mes viscères. Il m’enjambe et nous reprenons la position. Cette fois-ci j’ai d’autant plus honte que mes amis se laissent aller à faire des commentaires, à me trouver « franchement salope » et à se moquer de moi de façon peu amène.
Libérée, et le petit déjeuner passé, le maitre d’Octave propose d’aller promener « le chien et sa pute ». Je n’ai nulle envie de ma fâcher avec lui. Je fais ma toilette, enfile une petite robe courte et me prépare à l’accompagner. Au moment de partir il m’intime : « viens sans ta culotte, on ne sait jamais ce que voudra ton maître ! ». Je blêmis, l’enlève devant tous et la jette sur un fauteuil. Nous nous engageons tous les trois sur le sentier des douaniers. Mes deux mâles s’effacent galamment pour me laisser passer, mais cela permet à la truffe de l’un et à la main de l’autre de me lutiner sans arrêt. Le chien semble comprendre que son maître lui laisserait tout faire et je ne suis pas en capacité de résister. Aussi, dès que nous sommes seuls, ils me partagent avec plaisir. La langue de mon amant poilu dilate et emplit mon cul, le ramone en cadence, pendant qu’un puis deux doigts bien humains me défoncent le vagin. Je trouve d’abord cela odieux puis, mes sens s’échauffant, je finis par ...
... manifester bruyamment le plaisir qui monte en moi tout en caressant mon clito. A partir de ce moment, je deviens consciente que, dans les jours à venir, rien ne me sera épargné. Est-ce vraiment si infâmant d’être « la pute » d’un si joli chien, si affectueux (et un peu obsédé sexuel !) ?
L’après-midi est, chaque jour, consacré aux bains de mer. Nous nous y rendons en vélo. Octave gambade devant. C’est le seul moment où je peux prendre mes propres décisions. Dès que nous arrivons à la plage, le chien s’impose à nouveau. Allongée sur la serviette, il est couché à côté de moi, parfois une patte posée sur mon dos ou mes fesses ; à la baignade il ne joue qu’à me bousculer et à me faire passer sous les vagues ; si je discute avec quiconque il se pose sur son cul tout près de moi et me surveille ostensiblement. Mes compagnons trouvent cette attitude amusante et l’encouragent plutôt. Dès notre retour de la plage, il prend possession de son nouveau domicile, ma chambre et de sa nouvelle couche, mon lit. Me voilà fixée sur les conditions de notre cohabitation. Ses maîtres, soucieux de ne pas gâcher l’objet sexuel d’Octave, me donnent une paire d’épaisses chaussettes pour emballer ses pattes avant l’amour. Pendant notre séjour commun, je me plie à ses exigences. Une seule fois, j’ai voulu me refuser à lui et il a montré les crocs. Je me suis bien vite ravisée et positionnée, soumise, de telle façon qu’il puisse me couvrir à sa guise. Ses pulsions sexuelles, sans être fréquentes, sont ...