1. Sexothérapie (2)


    Datte: 13/02/2019, Catégories: Trash, Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... imprévisibles. Il peut aussi bien interrompre mes activités ancillaires, mon repas ou ma sieste ; venir me chercher dans mon bain ; me pousser dans un recoin alors que nous nous promenons ou faisons les courses. J’ai même dû accepter discrètement ses avances dans une cabine d’essayage et m’isoler avec lui dans les dunes en bord de plage. A cette occasion, nous avons été rejoints par quelques voyeurs qui, non contents de s’être branlés à nos frais, me regardent bizarrement quand nous nous rencontrons au village.
    
    Au bout d’une semaine, Octave et ses maîtres nous quittent. Par la lunette arrière de la voiture, il me lance un regard déchirant de tristesse. Lorsque nous rentrons dans la maison, Luc et Aline m’empoignent pour me conduire à la salle de bains. Je suis alors nettoyée à la perfection, soumise à des lavements désinfectants. Ma toilette intime est réalisée avec un acharnement qui finit par m’irriter le cul et la vulve. La concubine de l’animal est récurée et il ne reste aucune trace de la bête. A table, Aline me prévient d’une voix ferme : « Tant que tu seras là, tu n’oseras jamais nous refuser tout ce que tu as accordé à un chien ! ». Au début, je comprends mal ce qu’elle veut dire. Aussi, elle se fait plus précise et m’interdit tout vêtement dans la maison et ses abords. Elle en profite, le soir même pour m’obliger à participer au diner envahie par un gode ventouse fixé à ma chaise, le cul dilaté par un plug de belle taille. Je ne sais ce qui domine entre le ...
    ... malaise douloureux et le plaisir d’être ainsi défoncée. Dès le lendemain elle m’emmène dans un sex-shop de la ville voisine ou elle me fait acquérir deux tenues qui une fois enfilées laissent tout voir de mon anatomie en transparence et sont judicieusement trouées aux bons endroits. Dans cet accoutrement, j’ai l’impression de n’être qu’un libre-service du sexe. Au retour, elle me confisque tous mes vêtements et sous-vêtements à l’exclusion de mes petites robes de plage.
    
    Et la vie reprend son cours. Lorsque je vais au village accompagnée d’un de mes amis, je garde les bras collés au corps et me méfie des courants d’air. Je suis entièrement nue sous mes minirobes. C’est à la fois un plaisir et un risque. Je lis dans le regard des plus perspicaces de la désapprobation ou de la concupiscence. J’en suis flattée et un peu honteuse. Sur le vélo, dans la même tenue, je roule carrément le sexe et le cul à l’air. Succès assuré sur la longue piste cyclable et à l’approche des habitations ! Nous fréquentons maintenant la côte sauvage, ce qui permet à mes hôtes de m’utiliser aussi en plein air comme esclave sexuelle. La baignade devient une discrète baise aquatique et les séances de bronzage une bonne occasion de me tripoter jusqu’à ce que je me torde de désir. Le soir, nue ou étroitement gainée dans une affriolante robe à trous, je fais le service de l’apéro ou du repas. Je me suis habituée à cette tenue ou ma peau est ostensiblement découverte et ou mes seins, mon sexe et mes fesses sont à ...