1. Sexothérapie (2)


    Datte: 13/02/2019, Catégories: Trash, Auteur: Emil, Source: Xstory

    Et les vacances continuent dans cette charmante maison du bord de mer. Ce matin Octave (c’est le nom de ce chien si serviable) s’est échappé de la chambre de ses maîtres. Alors que j’ouvre les volets des fenêtres du salon, il est d’humeur joueuse. Dès la porte de la terrasse ouverte, sa truffe humide commence à pousser mes fesses nues avec vigueur. J’aime bien et sens mon sexe s’humidifier de plaisir. Je me laisse guider par lui jusqu’au milieu de la pelouse, à la vue des jardins voisins, puis il se soulève et pose brutalement ses larges pattes sur mes épaules. Je bascule vers l’avant, genoux et mains à terre, le chien sur le dos. Mon court T-shirt en épais coton me protège de ses ergots. Je le sens qui s’excite sur mon entrejambe. Son sexe, de plus en plus dur s’agite dans le vide, heurte par moments mes cuisses ou mes fesses. Il me plait bien mon amant poilu et je me décide à l’aider un peu. J’attrape de la main son long phallus, le branle un peu et l’introduis délicatement dans ma vulve déjà lubrifiée. Octave jappe de plaisir, comme pour me remercier et commence à s’activer en de grands coups de rein. Il n’a aucun mal à m’envoyer au septième ciel avant de commencer le long processus reproductif qu’il m’a fait découvrir. Lorsque mes amis et leurs invités se lèvent, nous sommes à nouveau cul à cul, au su et à la vue du voisinage. Je les entends murmurer des paroles amusées, étouffer des éclats de rire. Derrière la haie qui nous sépare des voisins, je crois distinguer ...
    ... quelques gloussements. Je me moque de tout cela ! Je suis fière de m’exhiber avec mon incroyable amant qui sait si bien déclencher ce mélange de honte et de plaisir qui me retourne si magnifiquement les sens.
    
    Son foutre coule doucement en moi. Je suis un moment effrayée par l’idée que nos gamètes soient compatibles et que je sois engrossée d’un monstre. Je finis par me calmer en pensant que cela n’est ni probable, ni irréversible. Lorsque son bulbe désenfle et me libère, je n’ai aucune envie de quitter son contact si doux. Je me love autour de lui en position fœtale, ma joue sur sa tête, mes genoux sous ses fesses, et nous restons ainsi dans l’herbe, à demi somnolents. Je perds la notion du temps et suis soudain ramené à la réalité par une sensation humide d’une truffe entre mes fesses. Mon compagnon, qui a quitté l’abri de mon corps, s’intéresse maintenant à mon fondement qu’il finit par lécher avec vigueur. Je comprends à son acharnement et à une bien jolie bandaison qu’il a décidé de me posséder à nouveau autrement. Qu’à cela ne tienne ! Me voici en position qui m’écarte les fesses d’une main et guide son vit de l’autre. Je suis bien lubrifiée de salive et pourtant la pénétration est laborieuse. Il met fin à cela d’un violent coup de reins qui permet à son organe de passer les obstacles et installe le renflement de sa verge dans ma cavité rectale. J’ai à la fois l’impression qu’il m’a pénétrée jusqu’au milieu du ventre et que mon cul s’écartèle à l’infini. Mon ampoule et mon ...
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