Le verre de bière
Datte: 11/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
pénétratio,
mélo,
amourdram,
Auteur: Giusepe, Source: Revebebe
... pour un vulgaire petit tricheur aux cartes ? Tu crois qu’il en vaut la peine ?
Elle ne me répondit pas tout de suite, son visage restait hostile et fermé. Puis soudain, elle se tourna brusquement vers moi :
— Je ne supporte pas ce genre de frimeur. Ne frime jamais devant moi, Gino, je ne le supporterai pas.
*****
La première fois qu’Agnès a eu un orgasme avec moi, c’était un dimanche après midi, un bon mois après notre première tentative. J’appris un peu plus tard que c’était pour elle la seconde fois de sa vie. Je n’ai pas eu les détails de la première fois, elle n’a jamais voulu en parler.
Nous étions chez moi, sur mon lit. Comme d’habitude, je l’avais tendrement embrassée, cajolée, m’imbibant de chacune parcelle de son corps avant d’oser toucher son sexe, et comme à chaque fois, j’avais été déçu et inquiet de le trouver relativement sec. Pourtant, Agnès se collait à moi, et semblait avoir envie, si j’en jugeais l’avidité avec laquelle elle me caressait.
J’avais fini par me laisser glisser entre ses jambes, et je lui léchais soigneusement et délicatement le clitoris. Peu à peu, je commençai à venir taquiner l’entrée de son vagin de mon doigt. On ne pouvait pas dire que celui-ci restait complètement aride, mais par rapport à ce que j’avais connu jusqu’alors chez d’autres filles, cela n’avait rien à voir. J’en étais à me demander s’il nous faudrait utiliser un jour des lubrifiants, perspective qui ne m’enchantait guère, lorsqu’ Agnès m’interrompit :
— ...
... Viens, prends-moi maintenant, Gino.
Elle se retourna sur le ventre, et glissa sa main droite entre ses cuisses. Elle écarta ses lèvres, m’offrant ainsi la vision de son sexe ouvert. J’en fus à la fois gêné, désarçonné et terriblement excité.
— Viens, pénètre-moi ! me dit-elle à nouveau.
Je guidais doucement mon pénis vers l’entrée, mais Agnès recula brusquement pour venir à ma rencontre. J’eus moi-même un peu mal, tant elle était sèche à l’intérieur. Je voulus me retirer, pour au moins me lubrifier un peu avec ma salive, mais Agnès ordonna :
— Reste ! Vas-y, bouge ! Prends-moi !
Je commençais à bouger. Agnès n’avait jamais ainsi pris d’initiative, elle n’avait pas non plus l’habitude de parler pendant l’amour. Je commençais à me dire que j’avais peut-être été trop tendre avec elle quand elle me demanda d’une drôle de voix :
— Gino…
La suite ne vint pas. Je l’encourageai :
— Oui, mon cœur ?
— Gino, prends-moi plus fort.
Elle m’excitait à me parler ainsi. Je m’enfonçai alors en elle un peu plus brusquement, et plus profondément. Elle soupira, et je sentis enfin son sexe se dilater un peu et changer de texture.
— Encore !
L’atmosphère changeait, la voix d’Agnès devenait gutturale. Elle bougea son cul en le levant vers moi, et elle plongea sa tête en avant dans l’oreiller.
— Gino, traite-moi de Putain !
— Hein ?
Je m’étais brusquement interrompu, estomaqué.
— Oh, non, continue, Gino, je t’en prie ! Traite-moi de sale pute ! Vas-y !
Je ...