1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... Béatrice :
    
    — J’ai envie de te poser une question indiscrète.
    — Laquelle ?
    — Quand tu auras dormi une heure ou deux, comment veux-tu te faire aimer ?
    — C’est moi qui vais t’aimer, mon petit Edouard, je viendrai sur toi et tu te laisseras faire.
    
    Edouard est fatigué, mais Béatrice est épuisée. La petite sieste se prolonge pendant près de trois heures. C’est Béatrice qui se réveille en premier. Ce petit somme lui a permis de retrouver toute sa forme. Elle prend dans ses mains le sexe d’Edouard qui est encore un peu endormi et le réveille très vite. Béatrice se met à genoux sur Edouard, guide son sexe à l’entrée de sa chatte avec sa main et le fait rentrer très profondément. Edouard se sent bien, pour lui, c’est un réveil tout en bien-être. Béatrice prend tout en charge, pour une fois c’est elle l’actrice, elle semble apprécier tout particulièrement ce rôle.
    
    — Mon petit Edouard, tu aimes les femmes qui prennent des initiatives ?
    — Bien sûr.
    — Je trouve ça très agréable de dominer.
    — Tu domines souvent les hommes ?
    — Non ! C’est plus souvent le contraire.
    — Et tu aimes me dominer ?
    — Oui ! Pour te donner du plaisir.
    
    Béatrice bouge le bas de son ventre avec des mouvements de plus en plus amples, elle reconnaît l’état d’excitation d’Edouard à la force avec laquelle il caresse ses cuisses. Au moment où elle se met à sentir que le moment ultime approche et que plus rien ne peut l’arrêter, elle se met à masser son clitoris avec sa main pour synchroniser les deux ...
    ... plaisirs :
    
    — Béatrice, je vais venir.
    — Moi aussi, mon petit Edouard chéri.
    
    Béatrice se redresse, son regard est dans le vague. Edouard prend un sein dans sa main et le serre très fort, peut être même trop fort. Les doigts de son autre main prennent sa cuisse en étau et laissent de longues traînées rouges. Béatrice devrait ressentir une douleur vive mais elle est comme anesthésiée par la vague de plaisir qui est sur le point de déferler et de la submerger. Son corps est pris de soubresauts incontrôlés, elle commence à râler de plus en plus fort sans vouloir se modérer. Quand arrive le moment où Edouard lâche par saccades dans son ventre les jets chauds et puissants de son plaisir, Béatrice pousse un grand cri, comme soulagée par cette jouissance qu’elle vient de recevoir. Elle regarde Edouard avec des yeux très doux, presque maternels, puis s’affale sur lui en blottissant sa tête dans son cou.
    
    — Encore une fois merci, mon petit Edouard chéri.
    — C’est moi qui te remercie, ma belle Béa, j’ai vraiment trop de plaisir avec toi.
    
    Après le plaisir, les obligations. Ce soir Edouard est invité à dîner chez Monsieur Dimitri Dumarez. À pied, il faut environ trois quarts d’heure pour aller chez lui. C’est un homme ponctuel, il n’aime pas attendre. Il est grand temps pour Edouard de se rhabiller et de prendre congé de Béatrice. Elle ne va pas rester toute seule bien longtemps, trois ou quatre heures tout au plus :
    
    — N’oublie pas tes clés, mon petit Edouard.
    — Ne t’inquiète ...