1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... Tu es un amour, avoir un caissier, cela facilite beaucoup la tâche.
    — Je ne fais pas que la caisse de la belle boulangère, je lui fais aussi l’amour, ne l’oublie pas.
    — Edouard, arrête de dire des stupidités.
    
    Béatrice et Edouard remonte à l’appartement :
    
    — Assieds-toi, Edouard, on va prendre un apéritif pour se reposer un petit peu.
    — Bonne idée, cela nous fera du bien.
    — Après, nous descendrons jeter tout ce qui ne se conserve pas.
    — Cela en fait beaucoup ?
    — Essentiellement la pâtisserie. Le pain, je le fais griller pour en faire des croûtons pour la soupe à l’oignon doux.
    
    Béatrice se lève pour chercher le whisky et des glaçons. Elle pose le tout sur la table et s’effondre dans un fauteuil.
    
    — Je suis dans cet état par ta faute, Edouard.
    — Tu as enlevé le diminutif « petit » ?
    — Oui, parce que je suis fatiguée, je n’ai pas assez dormi cette nuit.
    — Prends ton whisky et montons nous allonger dans ta chambre pour faire une petite sieste.
    — Mon lit n’est pas fait.
    — Cela n’a aucune importance.
    
    Béatrice et Edouard montent à l’étage supérieur, verre, bouteille et glaçons à la main. Edouard passe prendre son gros coussin dans la chambre qui aurait du être la sienne, puis rejoint Béatrice dans la sienne. Elle est déjà allongée toute habillée sur le lit, le grand coussin dans son dos et le verre de whisky posé sur sa table de nuit. Edouard la regarde, lui sourit, se déshabille et s’allonge à côté d’elle. Il lève son verre et lui dit :
    
    — À ta santé, ...
    ... Béatrice.
    — Je ne suis plus ta belle Béa.
    — Tu vas le redevenir dans peu de temps.
    
    Edouard fait le tour du lit, s’approche de Béatrice et lui dépose un gros bisou sur les lèvres. Béatrice essaye de transformer ce bisou en baiser, mais Edouard s’éclipse discrètement.
    
    — Je ne peux quand même pas t’embrasser quand je suis dans la plus simple expression et toi encore tout habillée.
    — Je veux bien me déshabiller, mais il faut que tu me promettes de rester sage, je suis épuisée mon petit Edouard, je n’aurai même pas la force de manger.
    — Je te le promets sur ta tête, ma future belle Béa.
    
    Béatrice s’assied sur le bord du lit, défait un à un les boutons de son chemisier puis l’enlève.
    
    — Garde tes sous-vêtements, je veux avoir le plaisir de les enlever moi-même.
    
    Béatrice enlève sa jupe, son collant puis regarde Edouard avec un regard doux mais un zest polisson :
    
    — À toi l’honneur pour le reste, mon petit Edouard.
    — Je vais être très coquin, je vais enlever ta petite culotte en premier.
    — Avec toi, je n’en suis plus à ça près.
    
    La petite culotte vole dans la pièce, Edouard caresse les cuisses de Béatrice et lui dépose un chaste baiser sur son mont de Vénus, au plus bas de son ventre. Vient ensuite le tour du soutien-gorge :
    
    — Allonge-toi à côté de moi, ma belle Béa, et trinquons à ta santé retrouvée.
    — À ta santé aussi, mon Edouard chéri.
    
    Une des cuisses de Béatrice dans une main, le verre dans l’autre main, Edouard déguste lentement son whisky et demande à ...