1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... plus fort tout à l’heure. Béatrice le coupe un peu dans sa préparation et lui dit :
    
    — Toute la nuit j’ai eu envie de faire l’amour avec toi, mais je ne voulais pas te réveiller. Tu étais comme un petit enfant quand tu dormais. Je suis déjà prête, pénètre-moi, je veux te sentir au plus profond de moi.
    
    Le corps de Béatrice est prêt, impatient, Edouard peut en prendre possession.
    
    — Ma belle Béa, je suis si bien dans ton ventre, bien au chaud, ta chatte est si onctueuse.
    — C’est la première fois que tu emploies ce mot avec moi.
    — Cela t’embête ?
    — Non ! J’aime ce mot. Il est à la fois coquin, provocant et très féminin.
    
    Les deux corps sont enlacés, Béatrice caresse la tête de son amant avec une infinie douceur. Pour elle le temps semble s’arrêter, pour Edouard aussi. Ce n’est plus un amour passion comme hier soir, mais un amour tendresse où chacun va puiser son propre plaisir dans le plaisir de l’autre. Béatrice sent que le plaisir de son amant va venir, elle veut le précéder de quelques secondes pour qu’il puisse la contempler pendant son orgasme, cet orgasme qu’elle veut lui offrir :
    
    — Mon chéri, je suis toute à toi, rejoins-moi vite.
    
    A cet instant précis, Edouard sait qu’il peut rejoindre sa « belle Béa », leur plaisir est partagé. Après des moments d’une telle intensité, c’est dur de se lever, mais la boulangerie n’attend pas. Une douchette vite prise, un petit-déjeuner que Béatrice n’a plus le temps de préparer, et il faut déjà descendre.
    
    — Béatrice, ...
    ... je vais préparer le café, le beurre et la confiture et nous prendrons notre petit-déjeuner en bas dans la boulangerie.
    — Mon petit Edouard, si tu veux faire un amour câlin avec moi le matin, il faut faire sonner le réveil une heure plus tôt, sinon il faut que ce soit beaucoup plus vite fait, tout en restant bien fait.
    — C’est noté, nous agirons en conséquence.
    
    Edouard descend le plateau petit-déjeuner. Il connaît bien l’ambiance des marchands de légumes, il va découvrir celle de la boulangerie. Pour accélérer le service, il propose de tenir la caisse. Béatrice accepte avec plaisir, la tâche lui en est grandement facilitée. La matinée se passe très vite, il n’y a aucun temps mort. Edouard est impressionné par le nombre de jeunes et de moins jeunes qui viennent acheter des bonbons et des confiseries de toutes sortes. Béatrice est toujours souriante, elle connaît tous ses clients. Le nombre de petits potins racontés sur les uns et sur les autres est impressionnant. Edouard est un peu jaloux quand un homme plus âgé qu’elle la baratine un peu trop. C’est vrai que les hommes de vingt à quarante ans sont peu nombreux. Ils sont allés dans les grandes villes industrielles de la vallée du Rhône. L’heure de la fin du service arrive, Béatrice est fatiguée, cela fait six heures qu’elle est debout sans s’asseoir :
    
    — Tu peux monter, mon petit Edouard, je fais ma caisse et je te rejoins.
    — Ce n’est pas la peine, ma belle Béa, c’est déjà fait, j’ai tout inscrit sur cette feuille.
    — ...
«12...181920...»