1. Duchesse et catin (1)


    Datte: 10/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... vigueur.
    
    J’étais choquée. Outrée. Etait-ce comme cela que nous devions procéder ?
    
    Cela me fit mal et je le suppliai d’arrêter, mais les coups de langue du duc me stimulèrent. Enfin, l’énorme pieu entra complètement. Je me refusais à considérer cela comme normal. Mais, à la réflexion, il n’était pas normal non plus qu’un mari laisse sa femme se faire baiser par un autre homme. Non, je n’étais pas vraiment tombée dans un couple classique, mais jusque-là, je n’avais pas eu à m’en plaindre. La jouissance ressentie quand l’homme m’avait bouffé la chatte, les sensations immenses que j’avais éprouvées quand il m’avait caressé les seins, tout me montrait déjà que j’aimais le contact de cet homme. Je n’avais pas non plus trouvé désagréable de lécher sa verge. Je commençais à comprendre ce que les femmes voulaient dire quand elles prétendaient que les hommes étaient des cochons. Oui, tout cela était sale... et pourtant, j’y avais trouvé mon content pour le moment.
    
    Mais son énorme membre dans mes fesses, c’était de trop. Je n’arrivais plus à sucer et je pleurais de douleur. Pourtant, peu à peu, avec les caresses qu’il prodiguait sur mes seins et les pénétrations linguales de mon mari, le plaisir vainquit la douleur. Hornyman allait de plus en plus vite et il me secouait violemment et cette puissance de l’homme me ravissait. Bien vite, je ne sus plus retenir mes cris.
    
    — C’est bon, c’est bon, je bande dur. Vite, vite Hornyman, mettez-la sur le dos.
    
    Mon mari s’allongea sur ...
    ... moi. Son membre désormais était très ferme. Il m’enfila en douceur (inutile de dire que je ne connaissais pas ce terme ni tous les autres d’ailleurs à ce moment-là... on me les apprit au fur et à mesure). J’eus mal, mais moins que lorsque j’avais été sodomisée et ce fut plus bref, je sentis quelque chose céder en moi et la douleur s’évanouit vite laissant place au plaisir. J’écartai mes jambes le plus largement possible.
    
    Le duc fut rapide. Il jouit en quelques allers-retours et il se retira, essoufflé.
    
    — C’est fait... Ah, c’était extraordinaire. Merci, Madame, merci infiniment pour vos bontés ! Finissez Hornyman, mais n’allez pas disperser votre semence dans l’endroit qui m’est réservé. Où vous voulez ailleurs, mais pas là.
    
    — C’est bien compris et votre grâce n’a rien à craindre.
    
    Alors, il prit la place de mon mari, mais bien sûr, il y mit plus d’ardeur. Et puis, tout en allant et venant, il arrivait à me caresser, l’un ou l’autre sein et il se mit à les sucer. C’était encore une nouveauté. Il dévorait ma poitrine et c’était tellement bon que je ne pus que fourrer mes doigts dans son épaisse chevelure et la masser pendant qu’il me faisait encore perdre toute contenance.
    
    Puis, sa bouche se posa sur la mienne, il écarta ses lèvres et essaya d’entrer sa langue entre les miennes. Mais je ne savais pas quoi faire. Alors, il prit ma main, mit mes doigts dans sa bouche pour les suçoter et je fis comme lui. Il laissa sa bouche ouverte pour que je passe mes doigts sur ...
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