Duchesse et catin (1)
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... première leçon de vocabulaire et d’anatomie. D’autres allaient suivre.
Je pris donc le pénis.
— Voyez comme vous l’excitez, il gonfle. On dit aussi, c’est un peu vulgaire, qu’il bande. Et celui-là est gros, très gros. Il en faudra encore plus pour réveiller les ardeurs du mien. Caressez -lui le torse... allez, n’hésitez pas. Il ne vous fera aucun mal. Comme cela, bien ! à vous maintenant Hornyman. Passez derrière Madame. En douceur Hornyman ! Je veux un dressage en douceur. Faites-lui aimer l’amour. Vous y avez intérêt tout autant que moi si vous voulez qu’elle y revienne.
L’homme se colla à moi. Il était plus grand. Sa force m’impressionnait. Il passa ses mains devant moi et dénoua le nœud qui retenait ma chemise. Mes bras étaient serrés le long de mon corps. Il retira la nuisette, mais elle ne glissa pas.
— Laissez-là tomber.
J’obéis.
— Elle est superbe, superbe, n’est- ce pas Hornyman ?
— Oui Monsieur.
— Allez-y. Faites votre devoir.
Il me semblait que ce "devoir" incombait plus à mon mari qu’à quiconque, mais l’homme approcha se mains de mes seins. Je respirai très fort. Puis il effleura les tétons de ses mains calleuses. Je ne fus pas longue à m’abandonner à cette voluptueuse caresse, fermai les yeux et penchai la tête en arrière contre son épaule.
Il commença à me couvrir les épaules et le cou de petits baisers et me lécha même les oreilles.
Ses mains continuaient leur danse autour de mes seins. Sa délicatesse et la précision de ses ...
... mouvements tranchaient avec leur rugosité, laquelle n’était pas désagréable pourtant quand de la paume, il rasait mes tétons.
Au départ, ses gestes étaient presque un souffle sur ma peau, puis ils la frôlèrent, la touchèrent et enfin, ses mains volaient au-dessus du galbe de mes seins et se refermèrent enfin sur eux. Il s’était légèrement décalé sur le côté et reculé de façon à ce que son sexe ne fût plus collé contre moi. Je le saisis de ma main droite.
Puis il se replaqua contre mon dos et fit descendre sa main droite sur mon ventre avec une lenteur calculée. Il atteignit les poils frisés de mon bas-ventre et joua avec les boucles, tout en continuant de descendre millimètre par millimètre. Enfin, il inséra un doigt entre les deux lèvres, puis un autre et les écarta pour me pincer le clitoris.
Je sentis comme une décharge électrique dans tout mon corps. Je gémis malgré moi et ondulai. Puis il rentra un doigt dans mon vagin.
— Elle mouille Monsieur.
— Parfait. Vous aimez cela, Madame ?
— Pitié Monsieur, pitié... j’ai trop honte.
— Allons, il faut la libérer totalement Hornyman.
— Bien Monsieur.
Qu’entendait-il par là ? Allais-je perdre ma virginité dans les bras de cet homme, ces mêmes bras qui me soulevèrent du sol comme si je ne pesais rien et me posèrent délicatement sur le lit.
J’avais rouvert les yeux. J’étais allongée, les deux hommes debout et mon mari nu. Sa verge était moins tendue que celle d’Hornyman, et elle pendait légèrement vers le ...