1. Madame Nylon


    Datte: 09/02/2019, Catégories: fh, fplusag, magasin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme délire, Humour vêtements, Auteur: Valentin du Pressoir, Source: Revebebe

    ... le rhum. Bien sûr elle me sourit, se penche et me sert. Sa robe remonte sur ses jambes qui apparaissent dans la lumière et je me verse du grog brûlant sur la cuisse, oh pas beaucoup mais assez pour qu’elle réagisse étonnamment vite, comme attendant par là même une occasion ? Je suis coincé dans le fauteuil !
    
    Elle prend mon verre, le pose et, m’attirant par les mains, m’expose sa merveilleuse poitrine. Blanc pigeonnant, transparent, frou-frou discret où sur la pointe du globe une rose violacée s’épanouit. Une rose ? une framboise, plutôt. Dingue ! c’est carrément son téton. Énorme.
    
    Je deviens très léger et me retrouve poussé vers le divan. Déjà la voilà qui dégrafe mon pantalon vitesse éclair. Pardon ?
    
    – Faut enlever tout çà et mettre de la glace pour la brûlure et pour détacher en même temps, glissa-t-elle.
    
    S’agrippant à ma ceinture, elle descend mon fute tant et si bien que mon slip suit allégrement le déballage. Oh là ! c’était oublier mon étendard qui, sous l’envoûtement de ses lolos crémeux accroche le tissu et prend un angle bizarre. Je crochète mes souliers et d’un geste fluide elle me tire les jambes en l’air ainsi que le derrière, prêt pour le talc, m’extirpant le pantalon encore fumant. Je suis du coup, brûlé, en slip et chaussettes et ma bite hurle à la mort. Ses mouvements sont fluides et elle se met à souffler sur mon corps aux endroits qu’elle pensait rougis donc brûlés. J’ai l’impression que son haleine chaude dégage des poisons parfumés. C’est une ...
    ... courtisane, plantureuse certes, mais sa façon de se couler, d’aller, venir, disparaître et se lover avec distance me charmait. Elle vient s’asseoir près de moi et son regard se fige sur ma cuisse. Elle pose une poche de glaçon improvisé d’un mouchoir à ses initiales qui s’appuie sur une couille tandis qu’au passage, mon gland dans sa cage effleure son bras. Concentré, le corps se relâchant après l’ébouillantage, son visage descend imperceptiblement vers moi, scrutant attentivement ma cuisse et soufflant par à-coups tout en marmonnant.
    
    — Oh c’est tout rouge ici et là aussi !
    
    Du coup elle s’applique, arrondissant les commissures de ses lèvres en un ovale brillant et se rapprochant prend appui sur mes cuisses, les siennes s’entrouvrent progressivement et l’éclairage direct rend brillant la trame de ses bas qui se révèlent dans le crissement de son jupon pêche. Puis naturellement elle ôte la glace et s’approchant, se remet à souffler sur la rougeur d’où roule de l’eau. Je sens le souffle de sa bouche sur mon aine, le haut de mes cuisses et mes bourses frissonnent. Mon gland vient d’une saccade de mon ventre lâcher un filet de sperme qui forme au bord de mon slip beige, un petit rond liquide de nacre, de nitro, devrais-je dire. Juste le début du frein s’étire, tendu à la limite de l’élastique. Elle retient sa respiration, ses cuisses s’écartent et, dans l’intimité de sous sa robe, les attaches qui tendent ses bas apparaissent timidement, imprimés dans la chair de ses fesses ...