Parfum frelaté d'Arabie
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... j'imaginais être des insultes, des ordres impératifs à me tenir tranquille et le laisser user de moi comme bon lui semblait.
Les deux autres parlaient toujours aussi véhémentement avec forces gestes, le vieux semblait tenir tête à mon accompagnateur, il me semblait qu'il était question d'argent, le mot « dollar » revenant dans leur conversation. Le vieux me désignait de sa main à son interlocuteur, l'autre commençant à paniquer, je le voyais à son visage inquiet et aux regards pleins d'angoisse qu'il me jetait.
Le fils haletait sur moi, j'étais écrasée sous lui, à bout de souffle, cherchant vainement l'air brulant de la boutique. Son sexe me défonçait le vagin, il me faisait mal au ventre, et je gémissais doucement, les dents serrées ne pouvant qu'attendre la fin de cette torture qui ne venait pas. Il me vint en tête des souvenirs de lectures où il était question de bordels, parfois la mère maquerelle avait recours à un homme particulièrement membré et endurant pour rendre plus docile une de ses protégées. J'avais affaire à ce genre d'homme me semblait il, sa froideur, la taille de son membre, son endurance, son absence d'émotion en faisait une machine à baiser froide et déterminée.
La discussion se poursuivait à coté, le vieux parlait fort, mon accompagnateur semblait fléchir, il baissait la tête et je paniquais: « non lui criais je, ne cédez pas! » Il me regarda un peu surpris. Mes yeux l'imploraient, de plus en plus le jeu des deux autres me paraissait clair ...
... maintenant, ils voulaient me garder et me faire « travailler » pour eux. J'avais compris bien des choses malgré le barrage de la langue, il était clair que l'homme qui me couvrait était un maquereau sans scrupule avec les femmes qui tombaient sous ses griffes. De son coté mon accompagnateur semblait être tombé dans un piège dont il ne savait comment se défaire. J'étais l'enjeu d'une sordide tractation entre ces arabes, et quand on sait le peu de cas qu'ils font des femmes, je tremblais sous le poids de mon tourmenteur. Je commençais à avoir très mal au ventre, je criais, je me débattais comme je pouvais mais je sentais mes forces me quitter et je devenais molle entre les bras puissants qui me maintenaient et me liaient. Je pleurais tant la douleur devenait intense et la brute qui me saillait finit par le comprendre. Il se redressa au dessus de moi et sa bite fouilla mon vagin de plus belle avant qu'il ne soit pris de spasmes puissants qui libérèrent des flots de sperme qui coulèrent le long de mes cuisses. Puis satisfait, il me libéra et je demeurais sans bouger tandis qu'il se relevait me regardant avec le plus grand des mépris. J'étais humiliée à jamais à ses yeux.
Mon accompagnateur en profita pour se pencher vers moi me murmurer rapidement que le deux marchands voulaient me garder et faire de moi une pute qu'ils proposeraient discrètement aux habitants du souk. Une panique me prit, je voulus soudain partir très vite, retrouver l'hôtel, François, lui dire que cela avait été ...