1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... sentais venir par des palpitations de plus en plus violentes de sa queue qu'il me plantait de plus en plus vigoureusement.
    
    Tous à coup il pesa de tout son poids sur moi, m'immobilisant à même le tapis, j'étais prisonnière de ses bras puissants. Je sentais des tressaillements dans mon bas ventre et puis une inondation chaude envahit mon ventre tandis que le vieux grognait au dessus de moi. Il demeura ainsi un temps qui me parut d'autant plus long que j'étouffais sous lui. A bout de souffle je tentais de bouger et il comprit qu'il devait relâcher son étreinte, je respirais enfin.
    
    Pour peu de temps en fait, aussitôt que le vieil homme bascula sur le coté pour me libérer, je sentis un autre corps retomber sur moi et me maintenir à même le tapis. Le fils prenait possession de moi. Sa façon était encore plus brutale que celle du père. Sans aucun préliminaire il planta sa bite en moi et il s'en suivit des vas et viens furieux de ses reins qui propulsaient son membre au fond de mon vagin. Il me tenait de façon si serrée que je ne pouvais bouger, ses bras m'enserrant de façon que je sois à lui sans pouvoir y échapper.
    
    C'était un homme d'une trentaine d'année, un homme fait, sans doute marié et qui avait connu outre sa femme, d'autres partenaires si j'en jugeais par la technique de maintien dont il faisait preuve. Il avait plus d'endurance que son père, il était bien mieux membré aussi et sa bite étirait mes muscles vaginaux, les forçant à ouvrir davantage encore le ...
    ... passage vers mon ventre. Je subissais tant, que mes plaintes n'étaient pas de plaisir mais de peur, d'inquiétude, je me doutais être tombée dans un guêpier dont il serait difficile de se sortir sans subir tout ce dont-ils jugerait utile de me faire subir.
    
    Il appuya davantage encore son corps sur moi, ses reins étaient furieux et mon vagin devenait douloureux sous les coups de boutoir que je subissais. Je me mis à crier de douleur réelle cette fois. Il me vint des larmes, j'appelais au secours celui qui m'avait amenée la, mais quand je croisais son regard, je n'y vis qu'une méprisante ironie.
    
    Et mon calvaire continua, j'appelais à l'aide mais mes cris ne provoquaient que rires autour de moi, le père discutait avec mon accompagnateur pendant que le fils me pénétrait de façon si brutale. Je voyais qu'il était question de moi à en juger par leurs gestes qui me désignaient et le regard qu'ils me portaient. Le vieux semblait faire des propositions au riche saoudien qui m'accompagnait et l'autre hochait négativement la tête. Le vieux reprenait et je sentais que le ton montait, la discussion était âpre et mon accompagnateur hochait toujours la tête négativement, il semblait dire que ce que lui proposait le vieux n'était pas acceptable.
    
    Pendant ce temps le fils me couvrait toujours, me baisant sans retenue et surtout sans tenir compte de mes cris tandis que je me débattais sous lui. Il me tenait fermement, me proférant des choses en arabe que je ne pouvais comprendre mais que ...