La punition de la directrice (3) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (3)

... douter de la suite des événements et que je ne vais pas me contenter de regarder cette belle salope mûre en train de faire mon ménage…

Je me polis mon engin, qui est arqué au maximum, le gland rond et gros comme une balle de golf de compétition.

Les yeux de cette Jenna brillent. Ma parole, qui aurait cru que cette directrice qui avait l’air hautain encore ce matin dans son établissement aurait bavé devant une grosse queue quelques heures après, et se serait bien excitée en frottant le sol de ma cuisine, quasiment à poil avec ses bottes de chienne friquée !?

Je me lève, mon gourdin à la main. Elle ne fait que lever les yeux, inquiète peut-être de ce que je vais faire, mais surtout pour ne pas perdre une miette du spectacle du phallus de dominateur qui va la punir. Elle ne proteste même pas, ne semble pas surprise, pas même étonnée. Elle pourrait jouer à l’ingénue et dire que ceci n’était pas prévu, n’était pas au programme… mais non ; on dirait qu’elle est excitée par ce qu’elle voit et ce qu’elle imagine, ce qu’elle attend.

Sans lâcher mon phallus et sans cesser de me caresser lentement je me dirige vers son cul. Je me penche. Mais je ne vois pas bien ce que je veux vérifier. Alors je lui ordonne d’un ton autoritaire et d’une voix forte, encouragé par son attitude de chienne soumise, de bourgeoise-pute qui aime se faire dominer (car son attitude n’a rien de celle d’une femme apeurée… d’ailleurs…) :

« - Cambre-toi bien ! Et avance tes genoux au maximum ! Lève ...

... ton cul vers moi… Oui, comme ça, plus haut encore !

Hum » ricané-je, « c’est bien ce que je pensais : ta vulve est toute luisante, brillante, elle dégouline de mouille ! Tu es une vraie chienne en chaleur, une salope qui aime se faire dominer, se faire traiter comme une serpillière, une esclave sexuelle ! Et en plus, une vraie obsédée, une pute ménagère qui aime s’exhiber… et bien, pour tout ça, tu vas être servie !

Pour commencer lâche ton éponge et écarte-toi les fesses à deux mains ! Que je voie bien ta rosette ! Et tu as intérêt qu’elle soit bien propre ! Et ne crois pas que si ce n’est pas le cas, ça va me rebuter… Je suis capable d’enculer une vielle bique avec le cul sale ! »

Elle ne relève pas le tutoiement, ni les ordres dégradants que je lui donne. Ses gestes sont mal assurés et hésitants… mais lentement, elle s’entrouvre les fesses…

« - Plus que ça ! Écarte mieux, écarte à fond ! Oui, comme ça… c’est quand même malheureux qu’il faille tout le temps que tu te fasses prier… ! Ça mériterait des coups de martinet sur le cul, ça ou une sodomie à sec et brutale ! »

J’inspecte le trou de balle glabre, passant mes doigts tout autour, caressant l’intérieur des fesses. Je prends mon temps, je marmonne, l’air à demi satisfait…

Bon, ça va, elle a bien mérité ce dont elle brûle d’envie. Je fais le tour et me présente devant son visage. Elle lui fait envie, elle veut y goûter… eh bien elle va l’avoir, ma grosse queue… Et elle va se la prendre jusqu’au fond de la ...