La punition de la directrice (3) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (3)

... mouvement de pudeur (ou de fausse pudibonderie, histoire d’exciter le mâle en jouant à l’ingénue) elle tente maladroitement de cacher sa lourde poitrine de son avant-bras gauche.

Mais elle ne peut ainsi continuer à brosser le carrelage avec – et sur – une seule main (à moins de se mettre à genoux, ce qui je lui interdirai, bien entendu !)

D’autant que son avant-bras mince ne cache pas grand-chose de ses grosses loches ! Au bout de cinq à dix secondes, elle reprend appui sur sa main gauche et les lourdes coucourdes retombent, pendent, bien pleines, comme des outres qui ne demandent qu’à être palpées, pressées… maltraitées.

Je ne perds pas une miette de tout ça et continue à filmer.

D’un geste méprisant je lui soulève son gros sein du bout de ma chaussure, joue avec cette grosse masse, l’agace, la titille. Elle ne réagit pas, ne cherche pas à éviter le contact : bien au contraire elle se met à frotter de plus belle et c’est son gros sein globuleux qui vient heurter ma chaussure en ballottant… ma parole, ça lui plaît !

Elle m’excite. Je lui ordonne de se remettre debout un instant, pour bien la mater ainsi, ses seins lourds et fiers et sa croupe de jument.

Et puisqu’elle aime s’exhiber cette salope, elle va être servie, elle va m’en donner encore plus à voir : je prends un couteau dans le tiroir de la cuisine. Elle lève la tête et me regarde avec un air effrayé.

Mais je ne lui laisse pas le temps d’avoir peur : je saisis le bord supérieur du collant que je ...

... transperce et le fends jusqu’en haut. Posant le couteau je me saisis des deux pans et les déchire en descendant, mettant à nu son beau cul bien épanoui, puis ses cuisses.

Entre chaque séquence je filme.

Je découpe ensuite les collants à ras de ses bottes (pas question de les lui ôter…) et lui en laisse juste des lambeaux.

La voilà à poil maintenant et en bottes ! Elle l’a bien cherché.

Je lui tourne tout autour, lui ordonnant de se remettre au « travail », et la filme sous tous les angles.

Voilà de la belle besogne.

« - Une salope de plus dans ma collection particulière de vidéos. J’adore regarder les cochonnes en action. Je me passerai souvent celle-ci, le soir. Je vais l’appeler « Bourgeoise et pute traitée comme une bonniche, en action dans la cuisine. » »

Elle me fait un effet bœuf cette chienne qui pose à quatre pattes pour moi, je le sens dans mon froc où je suis depuis un moment très tendu. Alors, sans me démonter, je vais me rasseoir confortablement dans mon fauteuil tout en la matant. J’ouvre ma braguette en sors ma grosse queue, toute dure, et lentement, sans lâcher Jenna des yeux, je commence à me palucher.

Elle lève la tête, contemple le spectacle, les yeux un peu exorbités… elle ne proteste pas, ne fait aucune remarque montrant sa désapprobation. Au contraire elle semble soudain fascinée : est-ce parce qu’elle n’imaginait pas ce qui arrive ou est-ce qu’elle n’a jamais vu un membre masculin de cette taille ? Elle doit à ce moment bien se ...