La punition de la directrice (3) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (3)

... gueule ! Comme une chienne !

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Je me doutais que cela allait en arriver là. Je pensais que la punition, ce chantage, se limiteraient à faire le ménage.

Je m’y étais un peu préparée. J’essayais inconsciemment de le provoquer pour que l’on en finisse. J’allais devoir subir un moment sexuel.

Par contre me montrer ainsi, m’exhiber, m’a excitée à ma grande surprise. J’aime séduire et être regardée par les hommes mais je ne m’étais jamais comportée de la sorte.

Il approche avec son gourdin sorti de son pantalon. Un vrai monstre, épais et long. Une bête qui me ferait mal. Je m’attendais chez lui à un membre moyen, voire petit.

Maintenant je suis résignée mais je ne me plains pas. J’ai eu peur qu’il me baise mais il semble se contenter d’une fellation. Je ne fais que rarement cela, même à mes amants car cela ne m’excite pas.

Mais là, je préfère cela à être déchirée ou pire sodomisée par ce sexe.

Résignée, je vois le pieu me frapper le visage. Comme dégoûtée j’ouvre la bouche. Je veux faire de mon mieux pour qu’il finisse le plus vite possible. Mais je ne suis pas sûre de ce que je peux faire. Je suis à quatre pattes ce qui est humiliant. De toute ma vie, je n’ai fait que quelques fellations et c’était toujours couchée. Cette position est si humiliante.

J’ouvre la bouche en grand pour absorber le gland. Je le lèche lentement pour lui donner du plaisir. Mon tortionnaire grogne de satisfaction. Il m’insulte, ce qui ajoute de l’humiliation à celle de ma ...

... posture. Ma bouche suce en faisant des ronds sur le gland de ce membre effrayant. Il semble penser que j’aime cela mais en fait je fais tout que ce que je peux pour le faire jouir rapidement.

Il me caresse les cheveux puis en saisit une poignée de chaque côté de ma tête pour bien la tenir en place.

° ° °

Elle ne s’est pas faite prier, la garce ! J’ai pensé qu’elle protesterait, se rebellerait, refuserait de me sucer mais c’est tout le contraire : elle a ouvert la bouche et a gobé direct le bout de mon nœud ! Une vraie affamée. Et une experte. Elle me tête et me suce le bout arrondi et dur comme si sa vie en dépendait.

Elle m’excite comme pas deux ! Je tends les deux mains et lui attrape ses deux gros nichons qui balançaient comme des outres : ils sont mous mais encore fermes pour son âge. Je les presse sans aucune douceur comme si je voulais les vider d’un lait ou d’un suc qu’ils contiendraient.

Ma pine fait de lents va-et-vient dans sa bouche arrondie. Jenna s’active, tente des prouesses avec sa langue. Je comprends bien ce qu’elle cherche (me faire jouir rapidement), mais elle se trompe lourdement. D’abord, je suis endurant, secundo elle ne suce pas si bien que ça, et tertio, même si elle s’y prenait comme une vraie pute experte, la fellation ne m’a jamais fait énormément d’effet ; en tout cas, aucune femme, si douée soit-elle, ne m’a jamais conduit à décharger dans sa bouche à force de succion. Et ce qui me plaît surtout c’est de la voir, cette bourge, avec mon ...