La punition de la directrice (3) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (3)

Je proteste un peu, je ne veux pas souiller mes bottes qui sont de grande marque.

Ça le fait rire. Même en train de faire la bonniche je reste hautaine et coquette.

Il passe derrière moi et défait les liens du tablier, qui tombe sur le sol. Mes gros seins valsent alors que je suis à genoux. « Il suffit de mettre le tablier sous les bottes » ricane-t-il.

Je me cache les seins en faisant une moue outrée. Forcée de ravaler ma fierté je continue mon travail. J’espère qu’il va vite en avoir marre.

Je me sens fatiguée et ne proteste pas lorsqu’il tourne autour de moi en me filmant et en me caressant le cul. Je réprime mal un petit tremblement.

Il m’ordonne de me relever un peu pour regarder mes seins. Se rapprochant de moi il regarde mes collants et me palpe les fesses. Sortant un couteau devant mes yeux pour me faire peur, il le passe dans la ceinture puis coupe les collants et me les arrache. Il me laisse debout avec mon balai, trônant dans mes bottes.

Il retourne s’asseoir pour me regarder. Lentement il ouvre son pantalon. Un énorme membre s’en échappe. Il commence à se masturber lentement en me regardant.

Je ne peux m’empêcher de regarder cette grosse queue qui me fait peur

° ° °

Je l’ai laissée un temps s’énerver sur le carrelage. Au bout d’un moment elle s’est mise à protester qu’elle allait abîmer ses bottes hors de prix.

Je me suis moqué d’elle, la raillant, cette bourgeoise qui n’a manifestement pas l’habitude de faire le ménage, surtout comme ...

... ça, dans une tenue et une posture dégradantes qu’on n’oserait même plus imposer à une bonniche. Même si on sait qu’il y a toujours, hélas, dans le monde, des esclaves domestiques.

Mais elle, c’est différent. D’abord c’est une punition. Et puis deuxièmement, ça n’a pas l’air de lui déplaire. C’est vrai, elle aurait pu refuser dès le début, s’indigner, ou prendre un air humilié. Mais bien au contraire : elle est rentrée dans le jeu, un jeu qu’elle a l’air d’apprécier.

Je suis de plus en plus convaincu qu’elle y prend du plaisir : elle doit aimer s’exhiber, montrer son corps dont elle semble bien fière.

Elle remue sa croupe en cadence en frottant le sol, de toute évidence bien plus qu’il n’est nécessaire. Elle fait ça pour m’exciter, il ne peut y avoir d’autre explication. Cette attitude est aguicheuse et provocante.

On dirait une Betty Boop dans une tenue bien plus érotique que celle des pin up de jadis.

Du coup me vient une idée : je lui dis que si elle ne veut ni salir ni user le bout de ses bottes il n’y a qu’une solution, mettre le tablier dessous.

N’attendant bien entendu pas sa réponse je le dénoue et le lui ôte, et le jette à ses pieds.

Elle se retrouve quasiment à poil, habillée juste d’un collant sans slip qui ne cache rien de ses deux belles pêches, et évidemment de ses bottes que, pour rien au monde, je ne lui ferais enlever. (C’est le genre de poule, bourgeoise ou pas, qu’on sabre à grands coups de bite, à poil et en bottes !)

Dans un ultime ...