La sellette de Tannhäuser
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... immédiatement leurs seins, la seule chose de leur corps – hormis la tête – qui dépassait de l’eau.
— Ah non, les filles ! s’insurgea Pétra. Si vous voulez que je vous montre ce dont on a parlé, il ne s’agit pas de faire les effarouchées…
Elles échangèrent quelques regards, puis se levèrent lentement, essayant tant bien que mal de cacher leurs charmes autant qu’elles le pouvaient. Elles avaient toutes les deux les yeux baissés et, pour la blonde tout du moins, le rouge au front. Le plus gêné des quatre était peut-être moi.
— Non, ne les embête pas, je m’en vais.
Je ne savais pas ce que mijotait Pétra, mais il était évident qu’elles n’allaient pas se montrer nues comme si de rien n’était. Encore une fois, même de nos jours, les filles qui ne manifestent aucun trouble à se montrer à poil devant un inconnu ne sont pas légion, sauf peut-être quand elles en font leur métier et que cela est tarifé… Je tournai les talons.
— Non, non, ne partez pas, reprit l’une des filles. On veut vraiment apprendre…
Seulement voilà, je n’avais aucune idée de ce que je faisais là et encore moins de ce qu’elles voulaient apprendre, justement ! Je m’apprêtai à poser la question quand Pétra me fit signe de me taire et, d’une main, elle attrapa celle de la brune tandis que de l’autre elle lui relevait le menton.
— Silvia, montre à Jean-Luc comme tu es belle.
Comme un automate, Silvia retira alors son autre main de son sexe, et elle m’apparut cette fois sans plus rien cacher de ...
... son corps délicat. Elle n’était pas plus grande que Pétra, mais légèrement plus ronde. Ses seins étaient plus volumineux mais apparemment très fermes, son petit ventre était légèrement rebondi. Quant à sa toison, elle était aussi clairsemée que celle de mon amie, et ne cachait pas vraiment deux charmantes lèvres aussi roses qu’hermétiquement closes.
— Allez, à toi, Claudia.
Celle-ci eut aussi un moment de réticence puis, regardant la brune, à son tour retira doucement ses mains de ses charmes. Elle était plus grande de dix bons centimètres et franchement fine, avec des hanches à peine marquées, un ventre cette fois totalement plat, de très petits seins et une allure encore plus gaminesque que celle de Pétra. Pourtant, je le savais, elles avaient toutes deux dépassé les vingt ans.
— Elles sont mignonnes, non ?
Je ne me voyais pas dire autre chose. Mais cela ne m’expliquait pas pour autant ce que je faisais ici.
— En effet… Et de quoi leur as-tu parlé, au juste ? demandai-je discrètement.
— Tu verras tout à l’heure. En attendant, tiens, aide-moi à laver les cheveux de Claudia…
Et je me retrouvais le plus simplement du monde en train d’essayer de retirer l’épaisse couche de crasse, accumulée depuis des années, qui recouvrait les cheveux de la blonde. À chaque nouveau passage, ses cheveux devenaient un peu plus clairs, si bien que quand j’eus fini, nous avions affaire à une vraie blonde presque platine. Je n’aurais jamais imaginé que sa couleur naturelle puisse ...