La sellette de Tannhäuser
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
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frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... être si dorée, d’autant que la fourrure de son pubis était nettement plus foncée.
Cela faisait déjà un petit moment que Silvia était sortie de l’eau. Elle s’était assise, toujours nue, au coin du feu et profitait tranquillement de la chaleur de celui-ci, un pied sur le côté posé sur le panier à bûches et l’autre sur le rebord de terre cuite de l’âtre. En clair, elle avait les jambes écartées, et moi j’avais une vue imprenable sur son sexe béant, aux jolies petites lèvres roses tout juste couvertes d’un fin duvet presque noir, et il me semblait bien – mais peut-être était-ce mon imagination – qu’une goutte de rosée intime y perlait doucement. Je fis mine de ne pas m’en apercevoir, et la laissai à sa douce rêverie.
Pendant ce temps, Claudia était venue nous rejoindre. Elle aussi avait gardé la tenue d’Ève, et il me semblait qu’en séchant, les poils de sa douce fourrure s’éclaircissaient ; ils étaient désormais presque aussi clairs que ses cheveux. Leur pudeur à toutes les deux semblait s’être envolée, ce qui n’était pas sans me surprendre, mais ce n’était rien à côté de ce que Pétra avait prévu.
Lorsqu’elle sortit de la salle de bains, elle avait également ôté sa robe, et je me retrouvais le plus simplement du monde entouré de trois jolies filles, toutes aussi nues les unes que les autres. Pétra s’approcha de moi, et sans un mot retira la chemise que je portais et défit le nœud de mon pantalon. Il y avait un bail que j’avais laissé tomber le jean et le tee-shirt pour ...
... des vêtements en lin comme les autres villageois en portaient, essentiellement pour ne pas attirer l’attention d’un éventuel étranger. Avant même que mon froc ne soit au sol, elle s’était agenouillée devant moi, et avait déjà pris mon sexe entre ses mains.
— Regardez bien, maintenant, dit-elle aux deux autres.
Ce faisant, elle me caressait doucement les bourses, flattait avec la même délicatesse ma queue qui, presque involontairement, se redressa. Ensuite, elle commença un lent mouvement de va-et-vient, me décalottant à chaque allée et venue.
— Allez-y doucement, ça peut lui faire mal. Allez, à vous.
Et là, sans que j’aie le temps de comprendre, Claudia et Silvia étaient à mes pieds et commencèrent elles aussi à me branler avec application. La surprise fut à la hauteur de l’intensité de la chose, d’autant que cela ne dura que quelques minutes à peine.
— C’est pas mal, ça… Bon, poussez-vous, on continue.
Cette fois, elle passa sa langue sur le bout de mon gland, et le lécha amoureusement comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge un peu particulier. Sa langue s’enroulait langoureusement autour de ma bite dressée, léchait la hampe, le bout revenait me titiller le méat, tandis que ses mains ne restaient pas immobiles, malaxant d’une main mes couilles et imprimant de l’autre d’amples va-et-vient à mon sexe dressé. Puis elle fit coulisser sa bouche autour de ma verge tendue à l’extrême, et il me sembla alors qu’elle m’engloutissait à chaque fois plus profondément. Et ...