1. Une matinée ordinaire


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fhh, extracon, vacances, jardin, Masturbation Oral préservati, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, ecriv_f, Auteur: Christine, Source: Revebebe

    ... et là mes yeux se posent sur deux ouvriers en bâtiment, d’allure assez douteuse qui me saluent en souriant. Le premier s’adresse à moi dans un français hésitant et avec un fort accent, il me parle de la terrasse, de travaux et de je ne sais quoi encore. Je me dis que je dois sans doute leur laisser l’accès à quelque chose pour faire leur boulot. C’est quand le plus costaud et le plus jeune des deux passe devant moi avec son sourire enjôleur que j’ai le déclic. Il s’agit des deux gars aperçus de la terrasse tout à l’heure. Un très bref instant de trouble. Je dois reconnaître qu’il est vraiment beau gosse : jeune, fort, souriant et avec des yeux très séduisants. Il sent l’homme qui travaille dur et son compagnon de besogne n’est pas mal non plus, dans le style plus typé hispanique et plus fin de corps. Il tente de m’expliquer dans un français très maladroit qu’ils sont les garçons à tout faire pour les trois immeubles de vacances dont le mien et qu’ils interviennent sur tous les petits travaux d’entretien. Le grand continue de me regarder, droit dans les yeux. Le petit salaud m’allume. Ce qu’il ne sait pas c’est que j’ai très chaud et très envie d’un homme. Lui joue les dragueurs de passage, moi j’ai envie de virilité, d’une toute petite entorse aux lois du mariage, sans mon mari pour une fois. Il est vrai que nous fréquentons régulièrement les clubs.
    
    Je constate que ces yeux me matent et que je suis peu habillée, juste mon mini short en jean qui moule mon petit cul serré ...
    ... et laisse entrevoir les fines cuisses bronzées. J’ai troqué le haut de maillot contre un bustier qui s’ouvre sur le devant. Ses yeux courent sur mes longues jambes fines, déplorent sans doute mes petits seins qui déforment légèrement le fin bustier d’été mais se satisfont, je l’espère de mes hanches et de ma chute de reins parfaites. Là c’est moi qui lui souris, histoire de voir ce qu’il a dans le ventre. Le plus petit a ouvert sa caisse à outils et commence à vérifier le mécanisme de clôture des stores. Le grand lui n’a pas bougé, notre jeu de séduction et de défi réciproque se prolonge. Il passe négligemment une main dans ses cheveux, la lumière du jour accentue le charme de ses yeux. Il révèle une attractivité et un charisme étonnant pour son âge. Il ouvre, tout en faisant mine de le faire par habitude, son bleu de peinture et je vois jaillir du vêtement maculé, un maillot de corps très serré. Il cache à grande peine une belle peau bronzée et des muscles saillants aussi bien au niveau de bras puissants, que du torse gonflé et fier. J’ai du mal à ne pas regarder ce corps d’homme. La chaleur qui tenaille mon corps depuis mon réveil ne fait qu’être attisée, sublimée. Sans même m’en rendre compte, j’ai légèrement cambré mes reins en arrière.
    
    Je suis perdue, une partie de mon cerveau me commande de m’approcher de lui, d’embrasser à pleine bouche ces muscles saillants. L’autre envoi des signaux d’alerte pour dire qu’il est encore temps de passer dans la pièce d’à côté, de ...
«1234...8»