1. Une matinée ordinaire


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fhh, extracon, vacances, jardin, Masturbation Oral préservati, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, ecriv_f, Auteur: Christine, Source: Revebebe

    ... fais entrer deux doigts, quel plaisir, quel délice. Le soleil cogne à fond maintenant, il chauffe ma peau, mes épaules, mes seins et mes cuisses. J’ai plusieurs doigts bien au fond de mon sexe et je gémis sans retenue. Mon corps est en transe, tant d’attention aussi naturelle que personnelle me transporte. Je ne pense à rien qu’à mon plaisir égoïste de femme.
    
    Enfin, ma poitrine se gonfle à mesure que ma respiration s’accélère, je réduis la cadence pour ne pas laisser le plaisir venir trop vite. J’en profite pour glisser mon majeur dans mon anus, d’un coup, juste pour refroidir mes propres ardeurs. Mais j’ai trop envie et je reviens bien vite dans ma grotte qui coule autant qu’elle profite de mes attentions. Le soleil devient à la limite du supportable, il me brûle légèrement, j’ai le sexe grand ouvert et offert à la caresse que je fais plus brutale et plus précise. Je n’en peux plus et j’explose en gémissant, sans retenue en accentuant mes cris comme une garce. Une main entre mes cuisses et l’autre pour mes tétons eux aussi en fusion. Qu’il est bon de prendre son temps et de se donner du plaisir, sans penser à rien. Cette matinée de vacances est bien ordinaire, mais aussi bien délicieuse.
    
    Je remonte mon petit slip et caresse mon sexe rougi à travers l’étoffe humide, j’aime baigner dans mon jus. Presque nue, j’entreprends de battre en retraite vers le salon. Un bruit infime me fait lever la tête. J’aperçois alors deux ouvriers en bâtiment dans leur combinaison de ...
    ... travail qui restaurent la façade du petit immeuble d’à côté L’un d’eux siffle bruyamment. D’abord surprise, puis amusée plutôt que honteuse, je lui envoie un petit baiser simulé de la main. Il me crie quelque chose en espagnol et son collègue le reprend en cœur. Je les ai aussitôt oubliés.
    
    12 heures, j’ai la flemme de me faire à manger et je potasse négligemment une revue people. Ces niaiseries me font rire. Toujours relax, mais toujours excitée comme une puce. À bien y réfléchir, les vacances exacerbent toujours ma libido, ce ne sont pas quelques caresses dont j’aurais besoin, mais de la belle queue de mon mari. Je suis d’humeur à bien prendre soin de lui et à en attendre autant en retour. Ça y est, rien que d’avoir pensé à cela, j’ai de nouveau une envie incorrigible, ce doit être la dernière semaine avant les règles qui fait cela ! Je rêve sur ma petite chaise en me demandant si je dois faire l’effort d’aller me chercher un plat chez le traiteur du coin ou si je reste là à manger une cochonnerie en me laissant bronzer. Quel plaisant dilemme, loin des exigences professionnelles du reste de l’année. Même la vue d’un torse nu sur une pub du magazine arrête mon regard et contribue à chauffer mes sens. Je suis peu à peu transportée dans une douce rêverie érotique.
    
    La sonnerie de la porte retentit, je fais un bon sur ma chaise, car jamais, depuis notre arrivée, personne ne l’a activée. Elle fait un bruit épouvantable et gâche mon rêve de douceur. Machinalement, j’ouvre la porte ...
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