1. Une matinée ordinaire


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fhh, extracon, vacances, jardin, Masturbation Oral préservati, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, ecriv_f, Auteur: Christine, Source: Revebebe

    ... préparer un verre pour faire diversion. Mais je suis comme aimantée par son charme, son charisme et son sourire de jeune arrogant. C’est un désir de femme qui m’envahit, pas un désir primaire de jouvencelle apeurée ou de jeune amante, mais un désir profond de femme mûre, stable, mais qui veut exorciser son désir sans plus attendre. J’ai le vertige. Heureusement, il fait deux pas vers moi, il a réduit la distance de moitié et n’est plus qu’à deux ou trois mètres de moi, il continue à détailler mon corps. Je sens ses yeux sur mon ventre et un joli sourire s’est dessiné sur son visage. Je fais à mon tour un pas en avant, comme une acceptation, une révérence. Il est enfin juste devant moi, à quelques centimètres, je sens une petite odeur d’homme, je me sens soudain fragile, comme une fleur épanouie qu’on viendrait cueillir après l’avoir entretenue et préparée.
    
    Il glisse une main dans mon dos et la passe entre mes fesses, il a une force incroyable et il me colle à lui en faisant une pression sur mon entrejambe. Je glisse mes mains au niveau de ses hanches et nos deux bouches se trouvent. C’est un baiser plein, avec la langue, charnel et terriblement érotique, déjà mon corps m’abandonne, je vais me donner à lui. Une deuxième main passe entre mes fesses et il me soulève. Je passe mes jambes de chaque côté de son bassin pour garder une prise et l’équilibre. Ses mains fortes malaxent mes fesses à travers le petit short, il m’embrasse fougueusement dans le cou et sur les épaules. ...
    ... Il me porte doucement et m’assoit sur la table de repas, juste à la bonne hauteur. Ses mains attaquent le bouton du fin bustier et trouvent très vite mes seins. Il les prend sans peine à pleine main à travers le vêtement outre ouvert. Il me sourit. Mes tétons durcissent incroyablement et je sens avec délice la légère brûlure du bronzage matinale. Sa langue remplace ses mains pour flatter mes petits seins arrogants et fermes. Il les lèche et les mordille un peu jusqu’à ce que je couine, simulant la douleur. Il me couche à moitié vers l’arrière et écarte un peu mes jambes pour se coller à moi. Sa langue parcourt mes épaules, mes seins et mon ventre qu’il gobe avec délices et attention. Chaque parcelle de ma peau goûte avec délice sa langue chaude et râpeuse.
    
    D’une main habile, il ouvre son pantalon de travail, le laisse tomber sur ses genoux et m’invite à me relever. Pour m’ajuster et répondre à ce que je devine être une invitation, je m’accroupis un genou au sol et finit de dégager son sexe de sa prison de tissu. On ne peut pas être un beau jeune homme musclé avec autant de charme et d’assurance et manquer de ce qui est essentiel. Je constate avec malice que son sexe est de bonne taille, mais surtout bien épais comme je les aime. Doucement je le flatte, il est bien raide, je caresse doucement ses bourses très poilues et intime un petit va-et-vient provocateur. Il a basculé la tête en arrière et glissé ses mains dans mes cheveux. Doucement la pointe de ma langue embrasse son ...
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