1. Une matinée ordinaire


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fhh, extracon, vacances, jardin, Masturbation Oral préservati, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, ecriv_f, Auteur: Christine, Source: Revebebe

    Un fin filet de lumière me fait ouvrir les yeux sur une belle matinée estivale. Charles et moi sommes arrivés sur la Costa brava depuis une semaine. La première sensation est délicieuse, une douce ode de chaleur qui caresse mes épaules nues et me fait me contorsionner dans les draps fins. J’ai enfin droit, non seulement à une matinée de farniente, mais aussi à une solitude bien méritée. Charles est parti de très bonne heure rejoindre un ami pour de la pêche en mer. Malgré ses supplications, j’ai refusé de l’accompagner, nos progénitures sont chez mamy, bref une matinée au paradis pour femme active. Un dilemme cornélien me tenaille entre l’envie de traîner sous les draps et me laisser dorer au soleil et celui de rejoindre la terrasse pour prendre un copieux petit déjeuner.
    
    Je coupe la poire en deux : après avoir traîné une bonne demi-heure à étirer mes longues jambes et me masser le cou, je me tire du lit et file sous la douche. J’ai des envies de douceur et je sacrifie une nouvelle demi-heure sous l’eau fraîche. Je me sens toute propre et apaisée. J’enfile un mini short et un haut de maillot à ficelle et file, mon plateau en main, sur la grande terrasse de notre loft. Thé brûlant, tartine à la confiture, jus de fruits frais, laitage : tous les excès sont autorisés, j’ai envie de prendre soin de moi. La douce chaleur de 10 heures baigne ma peau, mariée au thé brûlant, tout mon corps est irradié de douceur. Lentement je sens monter le désir d’un de mes sports favoris : ...
    ... prendre réellement soin de moi et de la façon la plus intime qui soit. J’ai fini de me rassasier, rangé prestement les affaires et file m’allonger sur un relax. Le soleil plombe et la chaleur monte encore. Lentement je défais les bretelles de mon top de maillot et laisse mes petits seins blancs goûter au plaisir de la torpeur espagnole. Mmmmm…
    
    La vue sur la marina est à la fois superbe et discrète, j’ose une main sur la pointe de mes seins qui durcit, doucement je les frôle, puis les caresses, enfin j’agace un peu les pointes durcies par mes petits jeux. Ils sont tendus comme des arcs. Je descends doucement sur mes hanches, mon ventre, un petit malaxage me confirme ce que je pressentais. J’en envie de me toucher, de me lâcher. Je déboutonne le premier bouton de mon mini short pour me mettre à l’aise, le deuxième pour laisser passer la pointe d’un doigt. Un mouvement infime de mes cuisses m’apprend que je commence à mouiller, avant même d’avoir touché mon petit bouton d’amour. La nuit, animée par la fougue de mon grand Charles n’a fait qu’attiser mes instincts. Le repos est décidément bienfaisant. J’ai entrouvert les cuisses, pas encore au maximum, juste de quoi laisser passer une main experte, qui flirte avec mon petit slip de coton blanc. Je m’allonge de tout mon long, ferme les jambes et commence de petites circonférences en surface. C’est maintenant bien humide, et une petite tache traverse le fin sous-vêtement. Je n’y tiens plus, et fait glisser le slip, j’écarte à fond et ...
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