Un vieux rêve oublié
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
grosseins,
fépilée,
vacances,
amour,
noculotte,
pied,
chaussures,
rasage,
Oral
pénétratio,
québec,
Auteur: Lahel, Source: Revebebe
... beaucoup plus musclée que lorsque nous étions sortis ensemble ; je sentis qu’il constata ce fait tandis que son regard coulait sur moi et qu’il poussa un juron à mi-voix, s’attardant sur la ligne nette de ma taille, mes seins arrogants, 100% naturels, mon entrejambe que je sentais battre au mettre rythme que mon cœur…
Nos regards se croisèrent ; ses yeux bleus, quelques tons plus clairs que la normale, étaient interrogateurs, presque suppliants ; les miens n’apportaient que des réponses, mes iris marrons brûlants d’un feu sombre. Je tendis les lèvres vers son visage.
Étroitement enlacés, nous goûtant mutuellement en mélangeant nos langues, mes jambes étroitement enlacées autour de ses hanches, nous nous sommes écroulés ensemble sur mes oreillers, mes seins écrasés contre son torse, ses mains agrippant mes cuisses. Il enfonça son index et son majeur dans mon sexe et étouffa une exclamation mêlée de surprise, d’impatience et de jubilation ; j’étais plus que prête, ouverte et généreusement lubrifiée, des gouttes de cyprine coulant entre mes cuisses frémissantes.
Je relevai mes jambes et posai mes chevilles, encore à moitié sanglées par les lacets dénoués, sur ses épaules en une invitation claire… qu’il saisit immédiatement : les lèvres écrasées contre l’une de mes chevilles, embrassant la peau sensible de mon talon d’Achille, enserrant mes cuisses à deux mains, il me pénétra d’un geste brusque, nous arrachant mutuellement un cri.
J’avais beau être prête, ça ...
... faisait plus de quatre mois que je n’avais pas eu de partenaire ; n’étant pas amatrice de masturbation solitaire, les muscles de mon vagin avaient eu le temps de se resserrer, déshabitués de ces intrusions… mêlant la douleur et le plaisir en une seule vague. Bien vite, ses coups de reins ne me tirèrent plus que du plaisir. Des cris traduisant la jouissance insupportable qui émanait de mon sexe, empli, tendu sur la longue et épaisse virilité de Tom qui, le visage crispé, sa langue courant de mes orteils à ma cheville en me tirant des frissons supplémentaires – j’ai toujours été chatouilleuse, donc très sensible – faisait visiblement de grands efforts pour ne pas s’emballer, tous les muscles de son corps tendus à se rompre, des gouttes de sueur coulant entre les rides de concentration qui sillonnaient son front.
Une chaleur torride m’envahit des pieds à la tête, prémisses d’un orgasme foudroyant imminent ; je me cambrai, poussant mon bassin vers lui jusqu’à ce que mon clitoris se frotte aux poils frisés de son pubis ; il poussa un long feulement et posa les poings de part et d’autres de ma tête.
— Vas-y, lui soufflais-je à l’oreille d’une voix caressante.
Levant mes bras pour m’emparer de ses fesses, les tirant vers moi, l’incitant à s’enfoncer profondément… je tremblais de tout mon corps, mes muscles se refermant spasmodiquement sur son sexe, le prenant dans un étau… Il banda les muscles de ses fesses et libéra la cadence ; mon lit frappait contre le mur, je hurlais des ...