1. Nous vivons seul


    Datte: 28/01/2019, Catégories: fh, inconnu, lunettes, bizarre, campagne, intermast, nopéné, exercice, Humour occasion, Auteur: HoplA, Source: Revebebe

    ... Arnest. Vous ferais-je de l’effet ?
    — Rendez-nous notre couverture et allez vous coucher.
    — Pourquoi ? Vous préférez vous masturber ?
    — Nous ne préférons rien, sinon qu’on nous laisse en paix.
    
    Elle a regardé vers un endroit qui nous est très personnel, puis a approché son visage du nôtre.
    
    — Vous jouez les durs, Arnest, mais pour être crédible il faudrait que vous restiez mou.
    — Dur ou mou, ne vous occupez pas de nous.
    — Je vous trouve fascinant, Arnest.
    — C’est parce que vous n’avez plus vos lunettes.
    — Oui, je dois absolument vous voir de près !
    
    D’un mouvement souple, elle s’est redressée et couchée sur nous ! Sa poitrine était fraîche, mais son ventre agréablement chaud.
    
    — Vous perdez votre temps. Retournez dans notre chambre et laissez-nous dormir.
    — Vous faites semblant d’être détaché de tout, mais je n’en crois rien, a-t-elle dit en louchant vers notre nez.
    
    Elle nous a roulé une galoche pas désagréable, puis elle est descendue nous embrasser la poitrine et le ventre.
    
    — Gudule, arrêtez vos conneries !
    — C’est à vous, tout ça ? a-t-elle demandé en posant la main sur notre bite.
    — Pas du tout. Nous l’avons empruntée à Rocky Siffredo. C’est pour ça que nous ne la maîtrisons pas bien.
    
    Elle a posé les fesses sur nos genoux en calant les siens de part et d’autre de nos jambes. Nous lui voyions les seins, qu’elle avait fort jolis, et les plis de son ventre tout près de son nombril pendant qu’elle se penchait pour observer notre engin, autour ...
    ... duquel elle a refermé la main.
    
    — Pas mal, a-t-elle apprécié.
    — Vous êtes vraiment myope, que vous vous penchez dessus comme ça ?
    — Absolument. N’oubliez pas que je suis une femme à lunettes. Vous connaissez l’adage, n’est-ce pas ?
    — Vous êtes pénible, Gudule. N’y ajoutez pas la vulgarité. Retournez vous coucher.
    — Je ne vous plais pas ?
    
    Nous n’avons pas répondu.
    
    — En tout cas, à elle, je lui plais !
    — Si ça peut vous faire plaisir de croire ça, nous n’allons pas nous fatiguer à vous en empêcher.
    — En plus d’être glandeur, vous êtes égoïste, Arnest. Vous n’écoutez même pas l’appel de votre corps.
    — La pelle de notre corps, nous nous en servons comme bon nous semble.
    
    Gudule s’est avancée sur les genoux et s’est assise tranquillement sur nos attributs virils, ce qui nous a permis de constater – laissons-nous aller à quelque trivialité – qu’elle avait plutôt chaud au cul !
    
    — Comment faites-vous, Arnest, pour vous soulager, vous qui vivez seul ?
    — À votre avis ?
    — Vous vous masturbez, n’est-ce pas ? a insinué Gudule en chatouillant notre bite d’un petit aller-retour de moumoune.
    — Serait-ce interdit ?
    — En quelque sorte, vous êtes aussi branleur que glandeur…
    — Vous devenez vraiment vulgaire, Gudule. Qu’essayez-vous donc de prouver ?
    — Depuis combien de temps n’avez-vous pas vu une femme nue, Arnest ?
    — Nous en avons vu quelques-unes hier soir. Notre vidéothèque est bien garnie.
    — Ne vous défilez pas, Arnest, vous êtes ridicule. Je veux dire : une femme en ...
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