Nous vivons seul
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
lunettes,
bizarre,
campagne,
intermast,
nopéné,
exercice,
Humour
occasion,
Auteur: HoplA, Source: Revebebe
... vrai. Une qui vient près de vous, comme moi en ce moment, une qui vous touche, qui vous embrasse, qui vous caresse.
Nous n’aurions pu répondre. Nous n’en avions d’ailleurs pas envie. Comment Gudule pouvait-elle parler autant, poser autant de questions tout en promenant le long de notre tige la chaleur humide de sa fente ? Elle se caressait le ventre et les seins en oscillant au-dessus de nous, ce qui constituait un spectacle plutôt agréable doublé de sensations qui ne l’étaient pas moins. Elle s’est un peu inclinée et a posé les doigts sur nos épaules, les a promenés sur notre poitrine puis nous a accroché les poignets.
— Auriez-vous les mains froides, Arnest ?
— Pourquoi ?
— Posez-les donc là.
Elle a soulevé nos bras et a dirigé nos paumes vers ses seins, contre lesquels elle les a posées. C’était doux et chaud.
— Elles sont fraîches.
— Nous en sommes navré, avons-nous admis sans les enlever pour autant puisqu’elle nous les tenait.
Elle a fini par en abandonner une, et nous avons senti ses doigts qui pressaient notre sexe contre le sien. Les oscillations étaient de plus en plus appuyées, de plus en plus chaudes et mouillées, et notre gland de glandeur s’en trouvait copieusement humidifié. Nous avons fermé les yeux, mais Gudule s’est aussitôt penchée sur nous, ce qui nous a soulagé de l’effort de tendre nos bras, désormais repliés de manière plus reposante. Comme le contact des deux globes mammaires et de leurs charmants petits bouts bien fermes était ...
... agréable, nous avons laissé nos mains bien en place.
— Vous ne me regardez plus, Arnest, a dit Gudule tout près de notre bouche. À qui pensez-vous ?
En levant les paupières, nous avons rencontré son regard ironique juste avant qu’elle pose son sourire sur nos lèvres, rapidement, furtivement.
— À qui, Arnest ? a-t-elle insisté. À vous ?
— À nous ?
— À nous ? Quelle bonne idée ! Pensez donc un peu à nous, et puis à moi aussi, plutôt que de ne vous préoccuper que de vous !
— Vous êtes fatigante, Gudule, avons-nous soufflé.
— Dites plutôt que je me fatigue plus que vous !
Sa respiration était plus courte, plus vive, et la nôtre commençait aussi à s’accélérer. Il faut dire que cette invitée que nous n’avions pas invitée et qui s’imposait à nous sans la moindre retenue nous faisait son petit effet. Les lèvres mouillées de son sexe s’activaient toujours avec entrain sur le nôtre, bien secondées par la pression attentive de quatre petits doigts entreprenants et d’un pouce particulièrement taquin. Nous avons beau rechigner devant l’effort, nous sommes normalement constitué !
— Cela vous plait-il, Arnest ? a-t-elle demandé dans un souffle.
— Mmfff…
Elle a accentué ses caresses, allongeant les mouvements au maximum.
— Nous allons… jouir… Arnest.
— Gudule…
— Caressez-nous les seins.
— Nous n’avons… que deux mains…
— Les nôtres… Arnest. Les nôtres… pas les vôtres.
Nous nous sommes exécuté sans trop de mal, Gudule remuait tellement que nous n’avions qu’à laisser ...