1. Jonas


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral pénétratio, hdanus, init, mélo, nostalgie, portrait, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... de l’introduire progressivement, avec une douceur infinie, dans son orifice délicat. Je veillais à ne surtout pas brusquer mes gestes. Je ralentis encore en rencontrant une résistance. Louise ne cessait de parcourir mon corps de ses mains fines. J’insistai un peu, le visage de Louise fut traversé par une brève secousse, comme si elle venait de subir une piqûre, et mon membre pénétra dans son vagin. Elle m’attira contre elle, embrassa ma bouche, mon front, mordilla mon nez, m’abreuva de serments d’amour. Notre nuit se poursuivit, elle fut forte et tendre. Nous nous réveillâmes comme des enfants au premier matin du monde.
    
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    Les mois qui suivirent passèrent à une vitesse folle. L’amour de Louise était une pure énergie qui illuminait ma vie. Mais plus le temps passait, plus s’assombrissait en moi l’imminence de la séparation. Aux premiers jours de juillet, nous embarquâmes tous pour l’Argentine. Notre troupe, renforcée par une équipe locale comprenant d’autres mannequins et techniciens, accueillait également trois responsables de la marque de prêt-à-porter. Ingrid, la directrice artistique, une femme à l’énergie contagieuse, était éblouie par Louise, convaincue que celle qu’elle considérait à juste titre comme sa trouvaille allait offrir à la prochaine collection une aura sans précédent. Elle multipliait les gentillesses et la couvait du regard. Moi aussi, il va sans dire. Nous retrouvâmes sur place Robert, qui avait effectué de nombreux ...
    ... repérages au cours des deux semaines précédentes. Ce fut encore un très long et fatiguant voyage, en convoi de 4x4, pour atteindre une zone côtière au sud, en direction de la Patagonie. Le convoi s’arrêta, nous sortîmes tous pour admirer ce paysage à couper le souffle, battu par le vent. Robert se tourna vers nous.
    
    — Voilà. C’est ici. J’aurais pu choisir plus simple, moins loin, et plus pratique, je le reconnais. Mais c’est une terre qui te ressemble Louise. Infiniment belle et sauvage.
    
    Louise, sans un mot, souriait, le regard tantôt dirigé vers l’horizon, tantôt vers moi.
    
    Nous logions tous dans une série de chalets assez confortables, plantés dans les dunes, et reliés par des passerelles en billots de bois. Pour les besoins du shooting, Cléo avait imaginé pour Louise, en accord avec Ingrid, une nouvelle petite coupe de cheveux courte et un peu ébouriffée, qui me rendit fou quand je la découvris, alors qu’elle sortait du salon de coiffure installé dans un des chalets. Je l’attrapai par la manche de sa doudoune, la soulevai et elle sauta dans mes bras.
    
    — Tu aimes ? Vraiment ?
    — Tu es encore plus craquante que jamais. Que t’es belle, mais que t’es belle, mais que t’es belle ! Je voudrais te sucer comme un sucre d’orge !
    — Mais je n’y vois pas d’inconvénient, moi !
    
    Son rire si joyeux me faisait chavirer.
    
    Le travail commença. C’était un job vraiment difficile. Les contraintes du temps, du vent, de la nature compliquaient le travail de l’équipe technique, et donc le ...