1. Jonas


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral pénétratio, hdanus, init, mélo, nostalgie, portrait, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient divins, un défi à la pesanteur, ses adorables mamelons bruns dirigés vers moi.
    
    — S’il te plaît, caresse-moi
    
    Je parcourus son buste avec délicatesse, couvrant de baisers ses épaules, ses bras, avant de déposer mes lèvres sur ses seins. J’entrepris de lécher ses mamelons, puis de les suçoter gentiment. Mon visage descendit vers son ventre plat, fouillant de la langue son nombril. La tête basculée en arrière, la bouche ouverte, Louise émettait de petits souffles parfois ponctués d’un imperceptible gémissement. Avec une infinie lenteur, ma main se glissa sous l’élastique de la ravissante petite culotte, puis se dirigea vers son pubis.
    
    Elle émit un tout petit rire gêné.
    
    — Tu vois, ça repousse déjà. Ça va te piquer un peu. Si tu veux, je me ferai épiler à nouveau.
    — Non, surtout pas, ne change rien.
    
    Les gestes de ma main se faisaient de plus en plus précis sur son bas-ventre, accentuant ses halètements. Je finis par baisser doucement son sous-vêtement, la révélant dans toute sa splendeur. J’agrippai son adorable petit cul, la soulevai, elle replia ses longues jambes fines autour de ma taille, les bras noués autour de mes épaules. Je l’allongeai délicatement dans le vaste canapé. Je me déshabillai intégralement et m’allongeai auprès d’elle. Mon doigt avait éveillé son petit bouton, et le sollicitait de façon de plus en plus insistante. Elle me fixait d’un regard intense, la bouche ouverte, haletante. D’une main, elle ...
    ... masturbait ma queue. Je me redressai, et vins poser mon visage entre ses cuisses, où je commençai de boire à sa source. Elle saisit mon visage, qu’elle ramena vers elle. Tout doucement, elle dit :
    
    — Non, ça me gêne un peu. J’ai peur que mon odeur… te dégoûte.
    
    Je ne cherchai pas pour cette fois à la détromper, ému par sa candeur, et soucieux de la mettre à l’aise. Et pourtant, son odeur intime était légère, si douce, si fraîche, qu’on en aurait volontiers commandé des flacons en parfum. Je m’en étais déjà enivré, tout comme j’avais adoré goûter son intimité : elle avait comme une saveur de miel.
    
    Elle posa ma main sur sa poitrine, le regard toujours tourné vers moi.
    
    — Caresse-moi… encore. N’aie pas peur d’être… plus ferme.
    
    Sous mes doigts, ses tétons s’étaient dressés, durs comme la pierre. Elle me guidait, m’invitant à les étirer sans ménagement, à les emprisonner, les pincer toujours plus fort. Je découvris combien cette partie de son corps représentait pour elle une puissante zone érogène. Il y aurait des nuits, plus tard, où la simple stimulation de ses tétons jusqu’au bord de la douleur l’amènerait aussitôt à l’orgasme.
    
    D’une voix presque enfantine, Louise murmura :
    
    — Jonas… je suis prête. Viens en moi… Tu sais… Je suis encore vierge. Il faudra peut-être que… tu t’y prennes doucement.
    
    J’étais bouleversé, mais sans que ceci ne fasse faiblir mon excitation. Avec lenteur, je guidai mon sexe jusqu’à sa corolle, que je caressai d’abord de mon gland, avant ...
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