Astrid et Julia (4) - Histoires de Sexe

Astrid et Julia (4)

... une nuit entière avec toi, dans le même lit.

Elle se lève, me fait un bisou sur la verge, remets ses sous-vêtements et enfile son peignoir informe. Un baiser sur les lèvres et elle disparaît pour rentrer chez elle.

Quelques minutes plus tard, un texto de sa part :

— J’ai passé un merveilleux moment, trop court, avec toi. Tu es mon homme, je ne peux plus me passer de toi. Tu es un amant magnifique et tu sais me faire jouir au-delà de l’entendement. J’accepte tout avec toi. Je serai ton esclave. Je te l’ai déjà dit, prête à faire l’amour avec d’autres hommes ou femmes si tu me le demandes. Uniquement parce que je t’aime plus que tout.

— Moi aussi j’ai apprécié nos ébats. J’ai bien retenu ta déclaration et, dès que tu auras trouvé une date favorable, j’organiserai notre nuit pour qu’elle soit inoubliable.

Quelques jours plus tard je reçois deux texto qui vont compliquer ma vie.

L’un de Julia :

— Je pars en stage de dix jours dans le cadre de mes études à la fac et j’aimerais qu’on passe au moins une nuit ensemble deux jours avant. Ma mère va rejoindre mon père aux USA et je serai seule deux nuits. J’aimerais tellement que tu sois libre. ...

... Réponds-moi vite !

L’autre d’Astrid :

— Inespéré, Julia part en stage dix jours dans le cadre d’Erasmus et mon mari sera alors en voyage. Ce n’est pas une nuit que nous allons pouvoir passer ensemble mais plusieurs... J’en rêve déjà.

Je leur demande les dates exactes pour chacune prétextant le fait que je dois organiser mon travail. Leurs réponses sont immédiates. Il n’y a heureusement pas de chevauchement dans les périodes. Entre Julia et Astrid, je me ménage au moins trois jours de repos car vu le programme que je leur prépare ça va être fatigant... Deux nuits avec Julia, au moins sept avec Astrid.

Je contacte deux de mes amis avec qui j’ai l’habitude de partouser. Du temps de mon ex-épouse, elle a souvent été prise par nous trois et on était tous adhérents dans une boîte échangiste. Ils sont partants aux dates indiquées. De savoir qu’ils vont pouvoir se faire la fille, une gamine d’à peine dix-huit ans et quelques jours après sa mère, ça les émoustille. Ils me demandent si pour le dernier jour d’Astrid on ne pourrait pas lui organiser un gang bang, sans capotes, avec des partenaires sûrs. Je donne mon accord et les laisse organiser la soirée.