Astrid et Julia (4) - Histoires de Sexe

Astrid et Julia (4)

... demander son reste, bien trop heureux de l’occasion qui lui a été offerte.

Nous nous rhabillons et je dépose Julia près de chez nous après un dernier baiser.

Le mari d’Astrid est reparti en voyage. Je me renseigne à nouveau régulièrement auprès d’elle de ses progrès en matière d’acclimatation anale. Elle m’envoie des MMS me montrant comment elle supporte désormais le dernier, le numéro cinq. Elle me fait aussi des commentaires salaces dans lesquelles elle me dit vouloir se faire éclater le fion dès que possible. Je la laisse mariner en disant qu’en ce moment j’ai beaucoup de travail. Elle me relance en me promettant de passer une nuit entière avec moi. Elle s’arrangera pour éloigner Julia. Elle n’en peut plus d’attendre. Elle se masturbe en imaginant tout ce que je pourrai lui faire subir. En fait, elle est devenue accro au sexe.

Aujourd’hui j’ai un peu de temps libre et j’ai envie de m’amuser avec Astrid. Je lui envoie un texto :

— Viens immédiatement. Tu laisses tout ce que tu es en train de faire et tu arrives comme tu es. Inutile de me répondre si tu n’es pas là dans cinq minutes je ne t’ouvre plus.

A peine mon téléphone posé, je la vois sortir de chez elle, guetter dans la rue si personne ne la voit, arriver en peignoir devant ma porte et sonner.

Je lui ouvre la porte. Elle est là, les cheveux en bataille, le visage pas maquillé, enveloppée dans une robe de chambre pas très sexy.

— J’ai fait le plus vite que j’ai pu tant j’étais heureuse que tu me ...

... fasses venir. Je n’en pouvais plus que tu me fasses languir depuis des jours. Je n’ai pas eu le temps de me faire belle pour toi.

— Tu crois que tu vas me faire bander alors que tu te présentes dans cette tenue informe ? Fous-toi à poil !

Elle reste interloquée mais enlève son peignoir sur le champ. Elle apparaît en sous-vêtements, sa poitrine bien rehaussée par un soutien-gorge pigeonnant du plus bel effet, un tanga met en valeur ses fesses sublimes pour une femme de son âge. La mère et la fille sont aussi belles l’une que l’autre. Je sens déjà un frémissement dans mon caleçon. L’animal se réveille.

— Tu es quand même mieux comme ça tu ne crois pas ?

— Si tu le dis. J’ai juste pris rapidement de quoi me couvrir pour arriver plus vite et j’ai pris ce que j’avais sous la main.

— Tu vis toujours en sous-vêtement dans ta maison ?

— Non j’étais en train de me préparer pour sortir quand j’ai reçu ton texto.

— Approche !

Son odeur, dès qu’elle approche ;Lady Million de Paco Rabane, m’enivre. Je passe mes mains dans son dos pour dégrafer son bustier. Sa poitrine est libérée. Je continue, tout en caresse, descends sur la chute de ses reins et reviens par-devant pour empaumer ses seins. Ils sont tendres et fermes à la fois. Je les presse doucement. Astrid gémit, dit qu’elle me veut.

Je pince chacun de ses tétons et la traîne vers le salon. Je vois dans ses yeux que ça lui fait mal mais elle me laisse faire, sans broncher. Je l’assois sur une chaise et je me ...