Astrid et Julia (4)
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... déshabille complètement. Je m’approche d’elle et place mon vit déjà bien dur entre ses deux nénés.
— Branle-moi !
Elle presse ses deux mamelles sur mon sexe et entame des va-et-vient en faisant bouger son corps. C’est divin.
Je la fais lever et m’assois à sa place. Je lui demande d’écarter les cuisses et de venir s’empaler, dos à moi, sur mon gland turgescent. Elle pousse un cri de plaisir tant elle attendait ce moment. Elle me le dit :
— Oh mon chéri comme tu m’as fait languir. C’est si bon de sentir ta queue en moi. J’attendais tant cet instant depuis la dernière fois où tu m’as prise. J’en ai rêvé toutes les nuits. Tu me remplis bien. Continue comme ça, baise-moi ! Tu vois je mouille pour toi...
En effet elle est trempée. Pendant que je la fais aller sur moi, je prends ses seins en mains et je les malaxe pour le plus grand plaisir d’Astrid. Elle ronronne montrant que ça lui fait le plus grand bien. Il est temps de tester l’élasticité de son anus. Mon sexe est bien oint de ses sécrétions intimes. Je lui demande crûment de se lever et de s’enculer elle-même. Elle s’exécute, ajuste ma queue sur son petit trou et ça rentre tout seul. Les exercices avec les rosebuds ont été efficaces. Quelques allers-retours, je me lève et toujours fiché en elle je l’entraîne vers le canapé où je la plie en avant sur le dossier.
Je peux alors, à loisir, lui défoncer le troufignon. Cette fois-ci elle ne bronche pas, elle participe même très activement en remuant son cul et en ...
... criant son plaisir. Nous finissons ensemble alors que je m’épanche au fond d’elle.
Après quelques minutes, je la redresse et l’emmène sur le canapé. Nous sommes côte à côte. Elle se tourne vers moi et m’embrasse longuement. Nos langues s’enroulent, nos lèvres se pressent. Aussi bizarre que ça puisse paraître, c’est notre premier vrai baiser, passionné. Je la prends dans mes bras et je la serre contre moi. Je la couche sur le canapé, m’allonge sur elle et je lui fais l’amour doucement, sans violence, comme pour me faire pardonner de tout ce que je lui ai fait subir dès notre première rencontre. Elle me presse contre sa poitrine, me dit des mots doux, des mots d’amour. Elle est abandonnée. Elle jouit longuement jusqu’à « notre » orgasme final lorsque j’éjacule en elle.
Je croyais la mater mais c’est l’inverse qui se passe. Je crois que je suis tombé amoureux d’elle. Ce qui est bizarre c’est que je suis aussi amoureux de son clone, en plus jeune, Julia sa fille ! Mais ça, Astrid comme Julia ne le savent pas.
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Je suis réveillé par la voix d’Astrid :
— Hervé mon amour, il faut malheureusement que je parte, il est tard Julia va rentrer de la fac.
— Hein ? Oui. On se revoit quand ?
Je suis surpris c’est moi maintenant qui devient pressant...
— Le plus vite possible. Il faut que j’organise notre nuit d’amour dit-elle sans s’apercevoir que c’était moi qui le demandait et non elle. J’ai tellement envie de passer ...