Astrid et Julia (4) - Histoires de Sexe

Astrid et Julia (4)

... vais la prendre cette fois-ci. Je la mets à quatre pattes et je l’enfile d’une seule poussée. C’est alors que je découvre qu’un jeune homme se masturbe dans les fourrées en nous voyant faire. Une idée diabolique me vient en tête. C’est le moment d’éprouver la docilité de Julia et la pervertir un peu plus. Je fais signe au garçon de venir nous rejoindre.

— Tiens Julia il y a ici un garçon qui voudrait participer. Il nous regarde depuis le début. Il se masturbe tellement il a envie de toi. Tu ne veux pas lui faire plaisir en le suçant comme tu as fait pour moi ?

— Quoi ? Non je ne veux pas ! Je ne le connais pas et c’est avec toi seul que je veux faire l’amour.

— Attention Julia, tu m’as dit, quand nous avons commencé notre relation, que tu serais à moi sans condition. Je me trompe ?

— Non répond-elle dans un soupir.

— Alors tu t’exécute. Suce-le !

Je continue à la troncher. Le jeune homme baisse son pantalon, se met à genoux et approche son sexe de la bouche de Julia, consentante.

— Merde, il sent la pisse. Il n’est pas propre.

— C’est une raison valable pour ne pas lui faire plaisir ? Pas de discussion ! Tu l’avales et tu le nettoies bien. C’est quoi ton prénom ? dis-je en m’adressant au jeune homme.

— Pierre.

— Alors Pierre vas-y. Fous lui bien ton mandrin entre les lèvres. Elle est d’accord. Et toi Julia fais le jouir rapidement. On n’a pas le temps.

Matée, elle l’avale. Je la baise. C’est un ballet infernal qui commence. Plus je m’enfonce ...

... dans sa chatte, plus sa bouche se rapproche du pubis de Pierre. Elle ne peut crier mais son corps signale, par ses tressautements, qu’elle approche de l’orgasme. Je lui prends les seins en main et je serre ses tétons. Dans un dernier coup de reins nous jouissons tous les trois, Pierre lui remplissant la bouche d’un jus abondant qui dégouline sur les lèvres de Julia.

— Arh, c’est dégueulasse ce que tu m’as fait faire.

— Ce n’est que le début. Libre à toi de refuser mais dans ce cas notre aventure s’arrête là. Je n’ai que faire d’une petite gamine, soi-disant délurée, qui fait des manières lorsque je veux l’initier aux plaisirs pervers du sexe. Si tu restes avec moi c’est pour que je puisse aussi te partager si j’en ai envie. Tu es très belle. Tu fais bander les hommes. Il serait égoïste de ma part de ne pas en faire profiter d’autres, même si je garde l’exclusivité de ton corps. Alors ? J’attends ta réponse.

Elle me regarde d’un air énamouré.

— Je ne veux pas que tu me quittes. Je t’aime. Mais c’est trop rapide pour moi il faut que je m’habitue à me plier à tes exigences. Je suis ignorante de toutes les choses du sexe. Je veux que tu m’apprennes et je te promets que je ne regimberai plus lorsque tu me proposeras une autre expérience.

— C’est bien ma douce. Allez, viens dans mes bras. Mais si tu recommences tu auras le droit à une punition sévère. On est bien d’accord ?

— Oui, me souffle-t-elle.

Nous nous serrons l’un contre l’autre. Pierre a disparu sans ...