L'achat
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Comme c’est bien dit, mon fils ! Je reprends ta belle phrase à mon compte.
Je pose ma main sur son épaule :
— J’espère pour toi que ta danseuse ne te réservera pas un mauvais tour.
— Amy n’est pas comme ça !
— L’amour et le désir rendent aveugle… Si malheureusement ça arrive, ne tarde pas trop à m’en faire part, histoire que j’arrange les choses…
— C’est-à-dire ?
— Que j’ai gardé bien des contacts, et tu n’imagines pas le nombre de personnes qui me sont redevables ! Il faut bien que ce soit utile un beau jour…
Mon fils a un frisson. Changeant de sujet, nous discutions encore un peu puis il s’en va rejoindre sa petite famille, du moins, je le suppose. Sa danseuse, ce sera pour plus tard. Par contre, pour moi, Miss Gladys, c’est pour tout de suite !
S’il y a bien une des choses que je ne regrette pas, c’est l’achat de Miss Gladys. Est-ce normal d’acheter un être humain ? Certains moralistes vous répondront que non. Mais les siècles passés ont eu leurs cohortes d’esclaves, de serfs, et maintenant, on les appelle ouvriers. Juste une autre étiquette.
La nature de mes relations avec Miss Gladys est assez particulière et éclectique, et je ne regrette nullement mon acquisition. Miss Gladys est à moi, elle m’appartient. De plus, cerise sur le gâteau, elle se donne à moi, parce qu’elle le veut bien. Je sais que si un jour, l’alchimie entre nous deux ne fonctionne plus, elle ira sans doute voir ailleurs, à moins qu’elle ne me prenne en pitié. Mais je préfère éviter ...
... cette dernière option.
— Êtes-vous prête, Miss Gladys ?
— Oui, Sir Andrew.
Elle est attachée complètement nue à une croix de Saint-André, exception faite de ses bas noirs attachés par des rubans rouge sang. Elle présente ses blanches fesses rebondies à ma vue, puis bientôt à ma cravache. Deux poids lourds sont accrochés aux anneaux de ses lèvres intimes. Je cingle l’air avec mon instrument, le sifflement la fait frémir. J’aime cet instant suspendu, celui de l’attente avant l’action.
— Voici venir ta correction, ribaude !
— Oui, Maître, je l’ai bien méritée !
Ses blanches fesses se couvrent de striures rouges. Elle résiste bien à cette flagellation. Jusqu’où est-elle capable d’aller ? Je ne sais pas, et je ne cherche pas à le savoir, j’ai quand même peur de casser le plus beau jouet qu’il me soit donné d’avoir. Je sais m’arrêter juste à la frontière, et par sécurité, un pas avant.
Quand j’estime que la sentence a été assez appliquée, je change d’instrument afin de m’occuper de son dos, de ses épaules et de ses bras. Avec les années, j’ai le bon coup de main pour que ce soit à la fois une piquante douleur et un brûlant plaisir.
Du bout des doigts, je caresse les diverses zébrures que je viens de dessiner sur ce corps offert à mes turpitudes. Elle frémit. J’aime ces dessins abstraits, ces marques de mon emprise.
— Tu es une belle toile… Dommage que je ne puisse pas encadrer ta peau dans mon bureau.
— Vous voudriez m’écorcher vive ?
— Ce ne serait pas une ...