1. Marie


    Datte: 24/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, copains, intermast, Oral préservati, pénétratio, fdanus, couple+f, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... impatiemment ta venue, me répond-elle, se levant d’un bond, nue, belle, désirable, radieuse, visiblement ravie de sa soirée mais impatiente de se blottir dans mes bras.
    — Fantastique ! Je me suis régalée. Je t’avais dit que je me jetterai sur elle ; je n’en ai pas eu le temps. Tu n’avais pas fermé la porte que j’avais sa main dans ma culotte et sa bouche sur la mienne. Et quand je dis dans ma culotte, je manque de précision. Elle a visiblement une grande habitude des filles car ses doigts se sont faufilés sans que j’aie eu le temps de souffler. Son autre bras m’a enlacée et soulevée pour me coucher sur le canapé où sa bouche a remplacé ses doigts. Je ne sais pas comment elle a fait mais j’ai joui tout de suite et longtemps. Tant et si bien que j’ai dû lui demander de cesser, sans quoi j’allais mourir.
    
    Nous sommes alors allées dans la chambre où elle m’a déshabillée et où je l’ai déshabillée et pendant une heure ce fut un festival. Je l’ai mangée à la faire crier et ses cris augmentaient encore mon plaisir. Fantastique ! Cette fille est fantastique. Mais viens vite car tu as quelque chose qu’elle n’a pas et dont j’ai un grand besoin.
    
    Et je lui fis l’amour comme jamais je crois. Elle était excitée comme une puce et j’eus le plus grand mal à me contrôler. Puis nous nous endormîmes, enlacés, repus, amoureux.
    
    Sacré Manon !
    
    — On a parlé de toi, me dit-elle alors que nous prenions notre petit déjeuner. Marie veut bien qu’on se revoie mais elle ne veut pas t’imposer ...
    ... de sortir. Si tu n’as pas peur que nos cris te dérangent, tu pourras rester. Elle a déjà connu une relation identique et ça ne la gênait pas de savoir que le garçon attendait à côté. Elle trouvait même ça très excitant. Qu’est-ce que tu en penses ?
    — Je ne sais pas. Vous entendre me perturbera, c’est certain mais me préparera à la suite. Vous voir serait plus compliqué car j’aurais sans doute du mal à ne pas vous sauter dessus ; on verra bien, lui répondis-je.
    
    Le lendemain Manon allait, comme tous les mercredis, chez JB. Il lui était devenu indispensable. Ce garçon était un gode vivant ; dès que Manon avait passé la porte, il était prêt et il avait appris à durer. Manon ne le voyait que pour cette seule raison. Elle le trouvait prétentieux, stupide mais il avait la capacité de la faire jouir autant qu’elle voulait. Et il était discret ; il savait – Manon l’avait prévenu – qu’il ne devait raconter à personne cette relation. Et il ne la raconterait pas car Manon représentait exactement ce qu’il cherchait chez une fille, et il n’était pas peu fier de la voir autant jouir sous ses assauts. Ils se rencontraient à la fac mais ne s’adressaient presque jamais la parole ; leurs rencontres étaient fixées d’avance. Et moi, j’étais ravi de cette relation.
    
    Jeudi matin, sortant de la douche, belle comme le jour, Manon me dit :
    
    — Marie vient ce soir. Ça ne te gêne pas ?
    
    Posant la question, elle connaissait ma réponse :
    
    — Je t’ai dit que j’étais d’accord mais je ne sais pas ...
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