1. Marie


    Datte: 24/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, copains, intermast, Oral préservati, pénétratio, fdanus, couple+f, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... comment ça va se passer, si Marie crie autant que toi. Je ne sais pas si je vais pouvoir me consacrer à mes révisions. On verra bien.
    
    Vingt heures précises, la sonnette nous annonce que quelqu’un arrive. Je vais ouvrir à Marie qui m’embrasse sur les deux joues comme si nous étions de vieux amis.
    
    — Manon t’attend dans la chambre, lui murmurai-je. Je pense qu’elle est prête.
    
    Et plus bas à son oreille :
    
    — Elle est déjà nue ; elle a pris une douche et s’est couchée tout de suite. Amusez-vous bien !
    — Merci, me dit-elle posant un chaste baiser sur mes lèvres, t’es un garçon sympa.
    
    Et elle entra dans la chambre, jetant ses vêtements n’importe où et sautant sur le lit.
    
    Je m’installai au bureau et me plongeai dans mes notes, me surprenant à me concentrer sur mon travail sans être trop perturbé par les filles qui n’avaient même pas pris la peine de fermer la porte de la chambre et qui faisaient l’amour comme si elles étaient seules au monde. J’appréciai l’extrême liberté qui s’était installée entre Manon et moi. Elle savait que j’étais heureux de la savoir comblée et, à entendre ses cris et ses soupirs, je savais qu’elle l’était.
    
    Elle ne faisait rien pour les dissimuler, tenant à ce qu’à travers eux, je sois associé à ce plaisir. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je lui en étais reconnaissant. Ce qui aurait très bien pu, comme d’ailleurs je le craignais, être un peu pervers, me paraissait, et j’en étais ravi, très naturel. Manon s’envoyait en l’air, dans la ...
    ... pièce à côté, avec une fille, et je trouvais ça naturel ?
    
    Au bout de longues minutes d’intense activité, je n’entendis plus aucun bruit provenant de la chambre. Je décidai d’aller voir s’il y avait un problème. Du seuil de la chambre, je vis ces deux superbes filles se reposant très sagement, allongées sur le dos, côte à côte, l’une Manon, ma Manon, blonde, vrai blonde, l’autre, Marie, rousse, vrai rousse. Magnifique !
    
    J’avais sous les yeux un tableau magnifique.
    
    Toutes les deux me virent et me sourirent. Manon tendit sa main vers moi, me faisant signe de m’approcher. Ce que je fis, saisissant sa main.
    
    — Merci, mon Fred, merci de m’aimer et de me comprendre, me dit-elle.
    
    Je tirai alors ma main pour retourner à mon travail et surtout pour ne pas perturber leur intimité mais Manon me retint.
    
    — Je viens de convaincre Marie de tenter une expérience qu’elle a toujours refusée. Elle n’a jamais envisagé comme étant possible qu’un garçon la touche mais elle veut bien que tu lui fasses ce qu’elle va me faire. Je lui dis que ta langue lui fera le même effet que la mienne et elle veut bien essayer mais je lui ai promis que tu n’insisterais pas si elle te demandait d’arrêter. Tu veux bien ? demanda-t-elle.
    
    Si je m’étais imaginé, il y a seulement cinq minutes, brouter le minou de l’amante de Manon ? Comme je ne répondais pas, Manon décida :
    
    — Déshabille-toi ! pendant qu’elle se levait, posant ses deux pieds de part et d’autre de Marie, pliant ses genoux pour amener son ...
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