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Sophie à l'EHPAD (5)
Datte: 17/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... écarter les cuisses à l’équerre pour leur offrir, en s’aidant de ses doigts, une vue sur l’intérieur de ma chatte. S’en suivit la douche, prodiguée par Charles, jamais à court d’idées pour faire bander les mecs. Il me masturba avec la savonnette. J’enregistrais le second orgasme de la journée. Je regardais, toujours effarée, les hommes se masturber. Ils devaient en effet être très atteints et je n’étais pas étonnée qu’ils aient pu commettre des actes sexuels à répétition complètement répréhensible. Ils étaient tout simplement obsédés et incapables de se contrôler. Livrés à eux-mêmes dans cet environnement, c’était pire ! J‘en étais là de mon analyse quand Charles me passa la laisse au cou et déverrouilla la porte de notre chambre. Bien sûr, il repoussait les hommes pour pouvoir me faire sortir à quatre pattes de la chambre et traverser le dortoir. Mon haut ne me protégeait de rien et surtout pas des regards. Mon cul et ma chatte devaient être bien exposés et mes seins qui pendaient sous moi, bougeaient au rythme de mes pas. Je sentais des mains qui me touchaient, des pieds qui me frottaient. Je sentais que Charles tirait sur la laisse et me traînait plutôt qu’il ne me guidait. Nous quittâmes la chambre rapidement pour ne pas nous faire assaillir. Ça promettait d’être plus chaud que je ne l’espérais ! Nous longions les couloirs pour trouver la salle à manger. Les hommes que l’on croisait étaient moins atteints que ceux de notre dortoir. Certains avaient ...
... le sexe sorti, mais n’étaient pas agressifs. Mon protecteur autorisa l’un d’eux à me caresser la tête comme l’on fait à un chien. L’automatisme me reprit : un wouaf de satisfaction ne surprit pas l’homme pour autant. Par contre je vis son sexe grossir immédiatement. Il ne se limita pas à me caresser le crâne et ses mains commencèrent à entreprendre une ronde que je connaissais bien. : mon dos, puis plus bas mes fesses et entres elles ; pour terminer mon sillon sexuel. L’autre main était bien sûr occupée sur mon torse à tripoter mes petits seins fermes et raidis. Charles comprit que la situation risquait de lui échapper quand deux hommes vinrent à notre rencontre avec des intentions pour le moins bien établies. Il tira sur ma laisse d’un coup sec et la main de l’homme, qui était en plein inventaire, s’échappa de mon entrejambe dans un bruit de succion sonore. Il trouva enfin le réfectoire et Monsieur Régis comme Directrice Régine étaient ravis de me voir à poil. Mon haut était autour de mon cou, et ma position au sol révélait mes charmes à qui voulaient les voir. Directrice Régine demanda à Charles qu’il me fasse faire un tour de la vaste pièce et m’enlève le tissu qui cerclait mon cou. Monsieur Régis prit la laisse des mains de Charles qui la lui tendait, pour me faire courir derrière lui. Je faisais de mon mieux pour suivre le rythme imposé. À la fin, je glissai sur le sol. Directrice Régine, Charles et Monsieur Régis applaudissaient mon exploit. Je ...