Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... les yeux, mais pris une baffe derrière la tête de la part de Monsieur Régis, ce qui eut pour effet de me les faire rouvrir bien sûr, mais surtout d’obtenir un orgasme qui me laissa pantelante autour de la main, toujours enfoncée jusqu’à la garde dans mon vagin trempé, de Directrice Régine.

Maîtresse Mireille - et Charles, dans une moindre quantité - avaient probablement indiqué sans ambiguïté la façon de me traiter. J’en avais eu la preuve dès mon arrivée. Elle avait sûrement dit qu’il ne fallait pas prendre de gant avec moi, que j’acceptais toutes les contraintes par avance.

On me donna un haut blanc comme pour les délinquants, mais pas de pantalon. De ce fait, mes fesses et mon abricot étaient visibles au moindre mouvement. Directrice Régine me fit prendre différentes poses pour tester les vues que j’offrais sous tous les angles possibles. Maîtresse Mireille rappela qu’elle devait recevoir des photos chaque jour pour pouvoir les transmettre aux intéressés qui suivraient mon défi.

Ainsi, j’appris qu’un site spécialisé retraçant mes périples était disponible sur le Net. Des paris avaient même lieu à chaque fois que j’étais confrontée à une contrainte, physique et/ou morale.

Charles aussi dut passer la tenue en vigueur dans cet endroit, sauf que lui ne fut pas obligé de se mettre à poil.

Monsieur Régis nous dirigea vers notre chambre commune qui était entièrement vitrée, au milieu du dortoir des délinquants. L’intérêt était que les surveillants pouvaient de ...

... cette chambre observer l’ensemble des hommes du dortoir sous un angle de 360 degrés.

Il y avait deux petits lits et une douche. Mais le problème était que si l’on pouvait observer les malades, eux aussi pouvaient nous voir tout à loisir.

Monsieur Régis nous fit traverser le dortoir où les hommes commençaient à se rapprocher de nous. Il était muni d’un bâton pour les repousser.

J’étais en sécurité dans notre chambre, même si bon nombre de détenus étaient agglutinés le long des vitres pour nous regarder. Monsieur Régis repartit.

Nous connaissions les heures des repas et l’endroit où on les prenait. Charles était équipé d’un teaser à impulsions électriques en cas de problème important, sinon le bâton était un outil que les malades craignaient.

Charles prit quelques photos pour situer notre environnement et montrer comment je bougeais dans autre nouvel espace.

J’avais envie d’une bonne douche, mais j’hésitais à cause des hommes de l’autre côté de la vitre. N’allaient-ils pas la casser avec un quelconque objet quand, me voyant nue, ils seraient trop excités ?

Charles devait lire dans mes pensées. Il me désigna la douche. Je fis passer le petit haut par-dessus ma tête et révélai aux hommes de l’extérieur ma fente épilée, mes fesses petit format et mes seins aux tétines surdéveloppées.

Charles me prit la main pour me faire tourner comme une danseuse et ainsi me montrer aux hommes postés contre la vitre tout autour de notre chambre. Il alla même jusqu’à me faire ...